Généalogie de Michel Joseph Antoine SERVAN
Ecrivains
Né(e) Michel Joseph Antoine SERVAN
Homme public, juriste et philosophe français
Né(e) le 3 novembre 1737 à Romans-sur-Isère, France , France
Décédé(e) le 3 novembre 1807 à Saint Rémy-de-Provence, France
Origine du nom
Patronyme porté à la fois dans le Bordelais et aux confins de la Bretagne. C'est un ancien nom de baptême. Dans le Sud-Ouest, il devrait s'agir d'une variante de Silvain (latin Silvanus). Vers la Bretagne, on a affaire au latin Servanus : saint Servan fut l'évangélisateur des îles Orcades (Ecosse). Une commune de l'Ille-et-Vilaine porte son nom.
Son arbre généalogique
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Ses sujets de prédilection furent l'enseignement et d'éducation. L'influence des Lumières fut déterminante quant à sa pensée. Critique vis-à-vis des jésuites, soutenu par les Encyclopédistes, ami de Voltaire, il admirait la Chine et magnifiait l'esprit de famille. Il critique fermement les défauts de l'enseignement supérieur au XVIIIe siècle, en particulier dans les facultés de droit. Admirateur de Frédéric II de Prusse et de l'enseignement en Allemagne, Servan est connu aussi bien en ce pays qu'en Suisse, aux États-Unis et en Russie. Opposé à l'enseignement du droit en langue latine, il est favorable à l'éducation publique. Dès 1781, puis en 1789, il conçoit l'éducation comme l'école du patriotisme, à l'égal de Rousseau qu'il a connu en 1768. Mais il tient de Lessing son action en faveur du rôle des femmes en politique. Correspondant de Rœderer et de Neufchâteau, Servan aussi connu en Suisse le pédagogue Johann Heinrich Pestalozzi et peut-être Philipp Albert Stapfer. Commentateur de Montaigne, il tente de définir l'éducation et soutient l'enseignement du grec ancien et des langues vivantes.
... Joseph Michel Antoine Servan, né le 3 novembre 1737 à Romans-sur-Isère et mort le 5 novembre 1807 à Saint-Rémy-de-Provence, est un homme public, juriste et philosophe français.
Ses sujets de prédilection furent l'enseignement et d'éducation. L'influence des Lumières fut déterminante quant à sa pensée. Critique vis-à-vis des jésuites, soutenu par les Encyclopédistes, ami de Voltaire, il admirait la Chine et magnifiait l'esprit de famille. Il critique fermement les défauts de l'enseignement supérieur au XVIIIe siècle, en particulier dans les facultés de droit. Admirateur de Frédéric II de Prusse et de l'enseignement en Allemagne, Servan est connu aussi bien en ce pays qu'en Suisse, aux États-Unis et en Russie. Opposé à l'enseignement du droit en langue latine, il est favorable à l'éducation publique. Dès 1781, puis en 1789, il conçoit l'éducation comme l'école du patriotisme, à l'égal de Rousseau qu'il a connu en 1768. Mais il tient de Lessing son action en faveur du rôle des femmes en politique. Correspondant de Rœderer et de Neufchâteau, Servan aussi connu en Suisse le pédagogue Johann Heinrich Pestalozzi et peut-être Philipp Albert Stapfer. Commentateur de Montaigne, il tente de définir l'éducation et soutient l'enseignement du grec ancien et des langues vivantes.
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Origines géographiques
La carte ci-dessous indique les communes d'origine des ancêtres de la personnalité.
Voir aussi
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