Généalogie de Paul PARAY
Compositeurs
Né(e) Paul Marie Adolphe Charles PARAY
Chef d'orchestre et compositeur français
Né(e) le 24 mai 1886 à Le Tréport, Seine Maritime , France
Décédé(e) le 10 octobre 1979 à Monte Carlo , Monaco
Origine du nom
Porté dans la Loire-Atlantique (variante : Parois), c'est un toponyme (à rapprocher des divers Paray rencontrés en France) avec le sens de paroi, mur d'enceinte.
Son arbre généalogique
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Plus d'informations
Son père Auguste Paray, graveur sur ivoire, qui remplit aussi les fonctions de maître de chapelle au Tréport (Normandie), lui apprend les premiers rudiments de la musique et l’inscrit à la Maîtrise Saint-Evode de la cathédrale de Rouen. Il y fait d’excellentes études, sous la direction du chanoine Adolphe Bourdon et de l'organiste Jules Haëlling. Outre le chant, il pratique le piano, l'orgue, le violoncelle… et les timbales. À quatorze ans, il joue de mémoire tout l'œuvre pour orgue de Jean-Sébastien Bach, et compose un Magnificat pour les jours de fête. À quinze ans, il interprète les symphonies de Charles-Marie Widor et de Louis Vierne, et souvent en compagnie de Marcel Dupré, son ami d'enfance, il déchiffre à vue les partitions de César Franck, Anton Bruckner et Max Reger. Bientôt sollicité pour accompagner au piano des artistes lyriques de passage à Rouen, Paul Paray semble destiné à une carrière d'organiste, ou de pianiste-compositeur. Mais Henri Dallier (1849-1934), professeur d’harmonie au Conservatoire de Paris et célèbre organiste de La Madeleine, en vacances au Tréport, remarque les dons du jeune homme et insiste pour que sa famille le lui confie. Il entre au Conservatoire de Paris dans la classe de Xavier Leroux, et suivra les cours de Georges Caussade, Charles Lenepveu, puis de Paul Vidal.
... Paul Paray est un chef d'orchestre et compositeur français, né le 24 mai 1886 au Tréport (Seine-Inférieure) et mort le 10 octobre 1979 à Monte-Carlo.
Son père Auguste Paray, graveur sur ivoire, qui remplit aussi les fonctions de maître de chapelle au Tréport (Normandie), lui apprend les premiers rudiments de la musique et l’inscrit à la Maîtrise Saint-Evode de la cathédrale de Rouen. Il y fait d’excellentes études, sous la direction du chanoine Adolphe Bourdon et de l'organiste Jules Haëlling. Outre le chant, il pratique le piano, l'orgue, le violoncelle… et les timbales. À quatorze ans, il joue de mémoire tout l'œuvre pour orgue de Jean-Sébastien Bach, et compose un Magnificat pour les jours de fête. À quinze ans, il interprète les symphonies de Charles-Marie Widor et de Louis Vierne, et souvent en compagnie de Marcel Dupré, son ami d'enfance, il déchiffre à vue les partitions de César Franck, Anton Bruckner et Max Reger. Bientôt sollicité pour accompagner au piano des artistes lyriques de passage à Rouen, Paul Paray semble destiné à une carrière d'organiste, ou de pianiste-compositeur. Mais Henri Dallier (1849-1934), professeur d’harmonie au Conservatoire de Paris et célèbre organiste de La Madeleine, en vacances au Tréport, remarque les dons du jeune homme et insiste pour que sa famille le lui confie. Il entre au Conservatoire de Paris dans la classe de Xavier Leroux, et suivra les cours de Georges Caussade, Charles Lenepveu, puis de Paul Vidal.
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Origines géographiques
La carte ci-dessous indique les communes d'origine des ancêtres de la personnalité.