Jack Nicholson

Généalogie de Jack Nicholson

Acteurs & comédiens

AméricainNé(e) John Joseph Nicholson

Comédien américain

Né(e) le 22 avril 1937 à New York City, New York , Etats-Unis d'Amérique (86 ans)

Origine du nom

Désigne en anglais le fils de Nichol (= Nicolas).

Son arbre généalogique

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Plus d'informations

Jack Nicholson (/d͡ʒæk ˈnɪkəlsən/), né le 22 avril 1937 à Neptune (New Jersey), est un acteur, réalisateur et scénariste américain.
Il a joué un grand nombre de rôles principaux ou secondaires, principalement des personnages sombres d'anti-héros, de personnages odieux, d'éternels marginaux, de vagabonds sardoniques, de rebelles contre la société voire de psychopathes dans de nombreux films cultes du cinéma américain, comme Easy Rider (1969), Chinatown (1974), Vol au-dessus d'un nid de coucou (1975), Shining (1980), Batman (1989), Mars Attacks! (1996), Pour le pire et pour le meilleur (1997), Les Infiltrés (2006), et du cinéma européen comme Profession : reporter (1975).
Avec douze nominations et trois récompenses, il fait partie des acteurs les plus souvent sélectionnés et récompensés aux Oscars du cinéma. En 2018, il est le seul acteur, avec Michael Caine, à avoir été nommé aux Oscars sur cinq décennies consécutives.
...   Jack Nicholson (/d͡ʒæk ˈnɪkəlsən/), né le 22 avril 1937 à Neptune (New Jersey), est un acteur, réalisateur et scénariste américain.
Il a joué un grand nombre de rôles principaux ou secondaires, principalement des personnages sombres d'anti-héros, de personnages odieux, d'éternels marginaux, de vagabonds sardoniques, de rebelles contre la société voire de psychopathes dans de nombreux films cultes du cinéma américain, comme Easy Rider (1969), Chinatown (1974), Vol au-dessus d'un nid de coucou (1975), Shining (1980), Batman (1989), Mars Attacks! (1996), Pour le pire et pour le meilleur (1997), Les Infiltrés (2006), et du cinéma européen comme Profession : reporter (1975).
Avec douze nominations et trois récompenses, il fait partie des acteurs les plus souvent sélectionnés et récompensés aux Oscars du cinéma. En 2018, il est le seul acteur, avec Michael Caine, à avoir été nommé aux Oscars sur cinq décennies consécutives.
Après l’échec du film Comment savoir, Jack Nicholson n’a plus jamais tourné dans un film depuis 2010.


Biographie


Enfance
Jack Nicholson naît à Neptune dans le New Jersey. Il est le fils d'une showgirl, June Frances Nicholson dite « June Nilson » (1918-1963) d'origine anglaise, par sa mère, et italienne, par son père.
Six mois plus tôt, le 16 octobre 1936, June avait épousé à Elkton dans le Maryland, Donald Furcillo, dit Donald Rose, un acteur d'origine italienne. Bien qu'il soit déjà marié, Furcillo offre de prendre soin de l'enfant mais la mère de June insiste pour en avoir la garde et permettre ainsi à sa fille de continuer sa carrière. Le petit Jack est donc élevé par ses grands-parents, John J. Nicholson, étalagiste dans un grand magasin à Asbury Park, et Ethel May Rhoads, coiffeuse, esthéticienne et artiste amatrice à Neptune. C'est seulement en 1974 lors d'un entretien avec un journaliste de Time Magazine que Nicholson apprend que ses soi-disant parents étaient en réalité ses grands-parents et que sa « sœur » était sa mère. À cette date, toutes deux sont mortes, et c'est Lorraine, son autre « sœur », en réalité sa tante, qui lui confirme les propos du journaliste.
Il déclarera plus tard ne pas savoir qui était son père, que seules June et Ethel (mortes respectivement en 1963 et en 1970) « savaient et elles ne l'ont dit à personne ». Patrick McGilligan, auteur de Jack's Life, a affirmé quant à lui qu'Eddie King, le manager de June, pouvait être le père biologique. Aucun certificat de naissance n'ayant été retrouvé (juste une déclaration a posteriori faite lorsqu'il avait environ 17 ans indiquant Ethel en tant que mère), Jack Nicholson a choisi de ne pas passer de test ADN.


Débuts professionnels (années 1960)
Après des études à la Manasquan High School (en) où il est élu « clown de la classe » en 1954, Nicholson, à 18 ans, s’achète une voiture et traverse seul les États-Unis pour Hollywood où il commence sa carrière, d'abord comme garçon de course pour la M.G.M, puis comme acteur de second rôle, scénariste et producteur, travaillant entre autres pour et avec Roger Corman. Cette collaboration inclut sa première apparition dans The Cry Baby Killer (1958), où il joue un délinquant juvénile qui panique après avoir tué deux autres adolescents, La Petite Boutique des horreurs (1960), dans lequel il joue un petit rôle en tant que patient masochiste d'un dentiste, Le Corbeau et L'Halluciné (1963), dont il partage l’affiche avec Sandra Knight, qu'il a épousé le 17 juin 1962 avec Harry Dean Stanton comme témoin (le couple divorcera le 8 août 1968).
Lorsqu'il arrive pour la première fois à Hollywood, Nicholson est engagé par les studios Hanna-Barbera. Remarquant son talent d'artiste, ils offrent à Nicholson un poste d'animateur qu'il décline.
Alors que sa carrière d'acteur semble marquer le pas, Nicholson se résigne à passer derrière la caméra et se met à écrire des scénarios. Naissent ainsi Thunder Island de Jack Leewood (1963), Flight to Fury (1964) et L'Ouragan de la vengeance (1965) de Monte Hellman. Ami de Bert Schneider et de Bob Rafelson, ce dernier lui demande d'écrire son premier film, Head, un film sur le groupe Les Monkees (1968). Ce sera la première de leurs collaborations, Nicholson jouant par la suite dans cinq des films de Rafelson. Nicholson passe des mois au contact du groupe dont les membres l'apprécient beaucoup. Il se rend sur le plateau de la série télévisée, les rencontre à leurs domiciles afin de s'inspirer de leur univers, toute l'équipe du film étant d'accord pour qu'il ne soit pas qu'une version longue de la série.
Même si les films qu'il écrit n'ont pas vraiment de succès, ce travail de scénariste permet à Nicholson de subsister. Il fait aussi une apparition dans deux épisodes de la sitcom The Andy Griffith Show, dans le rôle de Marvin Jenkins, en 1966 et 1967.


Route vers la célébrité (1969-1974)
En 1967, il écrit le scénario de The Trip, film psychédélique réalisé par Roger Corman et interprété par Peter Fonda et Dennis Hopper, qui remporte un grand succès en raison de son adéquation avec le mouvement hippie alors à son apogée. Fonda et Hopper lui permettent deux ans plus tard de reprendre sa carrière d'acteur en lui offrant le rôle de George Hanson, un avocat alcoolique, dans le film culte Easy Rider (1969), qui lui vaut sa première nomination aux Oscars.

Une nomination comme meilleur acteur suit l'année suivante pour son rôle dans Cinq pièces faciles (1970), nouvelle collaboration entre Nicholson et le réalisateur Bob Rafelson. Dans ce film, Nicholson incarne un pianiste de concert en rupture de ban avec sa famille. Cette même année, il apparaît dans Melinda de Vincente Minnelli, dans le rôle du demi-frère de Daisy Gamble (Barbra Streisand). Il retrouve Rafelson en 1972 pour le film The King of Marvin Gardens, mais l'œuvre a peu d'impact.
En 1972, il se voit proposer le rôle culte de Michael Corleone dans Le Parrain de Francis Ford Coppola mais refuse : bien que pressentant le succès du film, il pensait que les personnages italiens devaient être joués par des acteurs italiens.
En 1973, il incarne Billy « Badass » Buddusky, un soldat fort en gueule, dans la comédie dramatique La Dernière Corvée de Hal Ashby. Le film lui vaut d'être nommé aux Oscars comme meilleur acteur et aussi de remporter le prix d'interprétation masculine au Festival de Cannes 1973.

Après La Dernière Corvée, les rôles se multiplient pour Nicholson. L'acteur apparaît dans Tommy, adaptation par Ken Russell de l'opéra-rock du groupe The Who.
Au cours de cette période, il tient également le rôle principal dans trois œuvres majeures : Chinatown de Roman Polanski et Vol au-dessus d'un nid de coucou de Miloš Forman. Le premier est un pastiche de film noir dans lequel l'acteur incarne un détective privé hâbleur enquêtant sur une affaire des plus complexes. Le second est l'adaptation d'un roman de Ken Kesey se déroulant dans un asile psychiatrique. Il y interprète un délinquant entrant en conflit avec une infirmière-chef, incarnée par Louise Fletcher.
Dans le polar poétique Profession : reporter de Michelangelo Antonioni, il joue un journaliste qui prend l'identité d'un homme mort. Le film est tourné en Afrique puis en Europe. « Magnifiquement dirigé par Antonioni, l’acteur en fait peu, tenu à distance de ses tendances au cabotinage. Parmi les grands films de la filmo Nicholson, on tient ici le chef-d’œuvre absolu. » Ces films, aujourd'hui considérés comme des classiques, achèvent d'établir la réputation de Nicholson.


Icône américaine (années 1970-1990)
Non récompensé pour son rôle de détective dans Chinatown (film dont il réalisera lui-même une suite quelques années plus tard), Jack Nicholson remporte son premier Oscar du meilleur acteur grâce à son interprétation dans Vol au-dessus d'un nid de coucou. Le film reçoit également les 4 autres récompenses principales de la cérémonie à savoir meilleur film, meilleur réalisateur, meilleure actrice et meilleure adaptation.
Par la suite, Jack Nicholson tient un rôle secondaire dans Le Dernier Nabab, le dernier film que réalisera Elia Kazan et dans lequel il partage la vedette avec Robert de Niro, Tony Curtis, Robert Mitchum et Jeanne Moreau. L'acteur donne aussi la réplique à Marlon Brando dans Missouri Breaks, un western réalisé par Arthur Penn et qui est plutôt mal reçu. Il signe également une deuxième réalisation, En route vers le sud, un autre western, mais humoristique cette fois-ci. Outre d'en assurer la mise-en-scène, il y incarne un hors-la-loi contraint de se marier.
Puis, aux côtés de Shelley Duvall, il tient le rôle principal, celui de l'écrivain Jack Torrance, dans le film d'horreur fantastique Shining, adaptation par Stanley Kubrick du roman de Stephen King. Comme souvent avec Stanley Kubrick, le tournage est assez éprouvant. Bien que Jack Nicholson ne reçoive aucune nomination aux Oscars pour ce film (Shining est ignoré par l'académie et même nommé à la première cérémonie des Razzie Awards), son interprétation est considérée comme l'une des plus marquantes de sa carrière. Kubrick dira de lui : « Nicholson est sans doute le plus grand comédien d'Hollywood aujourd’hui, l’égal des plus grands acteurs de composition du passé, comme Spencer Tracy et James Cagney. »
Il reçoit en revanche l'Oscar du meilleur acteur dans un second rôle pour son interprétation de Garrett Breedlove, un astronaute à la retraite, dans Tendres Passions (1983), premier film de James L. Brooks, réalisateur venu de la télévision.
Jack Nicholson est prolifique durant les années 1980. Aux côtés de Jessica Lange, il joue le rôle principal d’une nouvelle adaptation de Le facteur sonne toujours deux fois que réalise Bob Rafelson sur un scénario de David Mamet. Il tient un rôle secondaire, celui du dramaturge Eugene O’Neill, dans l’ambitieuse fresque historique Reds de Warren Beatty. Il incarne aussi
un garde frontalier dans le drame social Police frontière de Tony Richardson (1982), un truand pas très futé dans L'Honneur des Prizzi, avant-dernier film de John Huston (1985), un journaliste cavaleur dans La Brûlure de Mike Nichols (1986), le diable dans Les Sorcières d'Eastwick de George Miller (1987) et un vagabond dans Ironweed de Hector Babenco la même année. Ces rôles lui rapportent trois nominations aux Oscars (Reds, L'Honneur des Prizzi et Ironweed).
En 1989, Batman de Tim Burton, où Jack Nicholson tient le rôle du Joker, est un succès commercial international. Grâce à une participation aux recettes, Batman rapporte à l'acteur environ 60 millions de dollars. L'acteur est pressenti pour reprendre le rôle en 1999 dans le cinquième film de la franchise, Batman Triumphant, mais Warner Bros. Pictures annulera le projet.

Au début des années 1990, Nicholson présente The Two Jakes, une suite à Chinatown dans laquelle il reprend son personnage de détective privé et dont il signe également la mise-en-scène. La gestation du film est laborieuse et, à sa sortie, l'œuvre ne suscite qu'une réaction mitigée.
Nicholson est une fois de plus nommé aux Oscars pour son rôle du colonel Nathan R. Jessep dans Des hommes d'honneur (1992), un film sur un crime dans une unité de la Marine américaine. Réalisé par Rob Reiner et adaptant une pièce de théâtre d'Aaron Sorkin, qui deviendra par la suite le concepteur de la télé-série The West wing, Des hommes d'honneur contient une scène particulièrement célèbre pendant laquelle Nicholson et sa co-vedette Tom Cruise s'affrontent au cours d'un procès.
En 1998, Nicholson reçoit un troisième Oscar du meilleur acteur pour son rôle de Melvin Udall, un auteur névrosé souffrant de trouble obsessionnel compulsif, dans Pour le pire et pour le meilleur, une comédie sentimentale à nouveau signée par James L. Brooks.
Parmi les autres œuvres auxquelles Nicholson participe au cours de cette décennie, on peut noter la comédie satirique Mars Attacks!, film dans lequel il tient deux rôles et qui lui permet de renouer avec Tim Burton. Il incarne également le personnage principal du film The pledge, le troisième long-métrage signé Sean Penn.
Toutes les prestations de Nicholson n'ont cependant pas été aussi bien reçues. Il a ainsi été nommé aux Razzie Awards du pire acteur pour Man Trouble et Hoffa en 1992.


Retrait progressif (années 2000)
Dans Monsieur Schmidt (2002), Nicholson interprète un actuaire d'Omaha (Nebraska) qui s'interroge sur sa vie et sur la mort de sa femme. Son calme et son jeu tout en finesse, qui contrastent avec nombre de ses rôles précédents, lui valent une nouvelle nomination à l'Oscar du meilleur acteur. Dans la comédie potache Self Control (2003), il joue un thérapeute agressif désigné pour aider le pacifiste convaincu Adam Sandler. La même année, dans Tout peut arriver (Something's Gotta Give), il joue le rôle d'un playboy qui tombe amoureux de la mère de sa petite amie, toutes deux respectivement incarnées par Diane Keaton et Amanda Peet.
En 2006, Nicholson renoue avec les rôles sombres dans le drame policier Les Infiltrés (The Departed), première collaboration entre Nicholson et Martin Scorsese. Le film est un remake de Infernal Affairs (2002) de Andrew Lau et Nicholson y tient le rôle de Frank Costello, un parrain sadique de la mafia irlandaise de Boston aux côtés de Matt Damon et Leonardo DiCaprio.
Il retrouve ensuite Rob Reiner pour la comédie dramatique Sans plus attendre (The Bucket List) qui lui permet de former un duo avec Morgan Freeman. En 2010, il fait partie de la distribution de la comédie chorale Comment savoir (How Do You Know), de James L. Brooks, aux côtés de Owen Wilson, de Paul Rudd et de Reese Witherspoon. Il s'agit de sa dernière apparition à l'écran.


Retraite (années 2010)
En 2013, on annonce dans la presse que Jack Nicholson est en négociation avec Tom Cruise pour jouer dans un film nommé El Presidente. L'acteur avait, dans un premier temps, refusé le rôle pour le confier à son collègue Robert Downey Jr., qui le lui rendra par la suite. Par ailleurs, Tom Cruise avait annoncé tout faire pour convaincre l'acteur oscarisé de rejoindre le casting, en menaçant même d'abandonner le rôle si Nicholson ne participait pas au projet. Mais il apparaît que Nicholson a juste accepté de lire le scénario du futur projet.[réf. souhaitée]Il décline aussi les rôles qui lui sont proposés pour les films 42 (2013) et Le Juge (2014).
En 2017, il est annoncé pour prendre le rôle-titre du remake américain du film allemand Toni Erdmann, sortant ainsi de sa retraite cinématographique. Depuis, Jack Nicholson, via son agent, a démenti cette rumeur infondée.[réf. souhaitée]


Vie privée

Connu pour son incapacité à se fixer, Nicholson a eu cinq enfants de quatre femmes différentes :

Jennifer Nicholson (née en 1963), avec son épouse l'actrice Sandra Knight (en) ;
Caleb James Goddard (né en 1970), avec l'actrice Susan Anspach, sa partenaire sur Cinq pièces faciles ;
Honey Hollman (née en 1981), avec l'actrice Winnie Hollman ;
Lorraine Nicholson (née en 1990) et Raymond Nicholson (né en 1992), avec l'actrice Rebecca Broussard (en).


Filmographie


En tant qu'acteur


Cinéma


Années 1950
1958 : The Cry Baby Killer de Jus Addiss : Jimmy Wallace


Années 1960
1960 : The Wild Ride de Harvey Berman : Johnny Varron
1960 : Too Soon to Love de Richard Rush : Buddy
1960 : La Petite Boutique des horreurs (The Little Shop of Horrors) de Roger Corman : Wilbur Force
1960 : Studs Lonigan d'Irving Lerner : Weary Reilly
1962 : The Broken Land de John A. Bushelman : Will Brocious
1963 : Le Corbeau (The Raven) de Roger Corman : Rexford Bedlo
1963 : L'Halluciné (The Terror) de Roger Corman : lieutenant André Duvalier - également coréalisateur
1964 : Ensign Pulver de Joshua Logan : Dolan
1964 : Flight to Fury de Monte Hellman : Jay Whickham
1964 : Back Door to Hell de Monte Hellman : Burnett
1965 : L'Ouragan de la vengeance (Ride in the Whirlwind) de Monte Hellman : Wes
1967 : La Mort tragique de Leland Drum (The Shooting) de Monte Hellman : Billy Spear
1967 : L'Affaire Al Capone (The St. Valentine's Day Massacre) de Roger Corman : Gino (non crédité)
1967 : Le Retour des Anges de l'enfer (Hells Angels on Wheels) de Richard Rush : le poète
1968 : Psych-Out de Richard Rush : Stoney
1969 : Easy Rider de Dennis Hopper : George Hanson


Années 1970
1970 : Les Motos de la violence (The Rebel Rousers) de Martin B. Cohen : Bunny
1970 : Melinda (On a Clear Day You Can See Forever) de Vincente Minnelli : Tad Pringle
1970 : Cinq pièces faciles (Five Easy Pieces) de Bob Rafelson : Robert Eroica Dupea
1971 : Ce plaisir qu'on dit charnel (Carnal Knowledge) de Mike Nichols : Jonathan
1971 : A Safe Place d'Henry Jaglom : Mitch
1972 : The King of Marvin Gardens de Bob Rafelson : David Staebler
1973 : La Dernière Corvée (The Last Detail) de Hal Ashby : SM1 Billy « Badass » Buddusky
1974 : Chinatown de Roman Polanski : Jack Gittes
1975 : Profession : Reporter (Professione: Reporter) de Michelangelo Antonioni : David Locke
1975 : Tommy de Ken Russell : A. Quackson
1975 : La Bonne Fortune (The Fortune) de Mike Nichols : Oscar
1975 : Vol au-dessus d'un nid de coucou (One Flew Over the Cuckoo's Nest) de Miloš Forman : Randle Patrick McMurphy
1976 : Missouri Breaks (The Missouri Breaks), d'Arthur Penn : Tom Logan
1976 : Le Dernier Nabab (The Last Tycoon) d'Elia Kazan : Brimmer
1978 : En route vers le sud (Goin' South) : Henry Lloyd Moon - également réalisateur


Années 1980
1980 : Shining de Stanley Kubrick : Jack Torrance
1981 : Le facteur sonne toujours deux fois (The Postman Always Rings Twice) de Bob Rafelson : Frank Chambers
1981 : Reds de Warren Beatty : Eugene O'Neill
1982 : Police frontière (The Border) de Tony Richardson : Charlie Smith
1983 : Tendres Passions (Terms of Endearment) de James L. Brooks : Garrett Breedlove
1985 : L'Honneur des Prizzi (Prizzi's Honor) de John Huston : Charley Partanna
1986 : Elephant's Child de Mark Sottnick : le narrateur
1986 : La Brûlure (Heartburn) de Mike Nichols : Mark Forman
1987 : Les Sorcières d'Eastwick (The Witches of Eastwick) de George Miller : Daryl Van Horne
1987 : Broadcast News de James L. Brooks : Bill Rorich
1987 : Ironweed d'Héctor Babenco : Francis Phelan
1989 : Batman de Tim Burton : Jack Napier / Le Joker


Années 1990
1990 : The Two Jakes (The Two Jakes) : Jake Gittes - également réalisateur
1992 : Man Trouble de Bob Rafelson : Eugene Earl Axline alias Harry Bliss
1992 : Des hommes d'honneur (A Few Good Men) de Rob Reiner : Nathan R. Jessep
1992 : Hoffa de Danny DeVito : Jimmy Hoffa
1994 : Wolf de Mike Nichols : Will Randall
1995 : Crossing Guard (The Crossing Guard) de Sean Penn : Freddy Gale
1996 : Blood and Wine de Bob Rafelson : Alex
1996 : Étoile du soir (The Evening Star) de Robert Harling : Garrett Breedlove
1996 : Mars Attacks! de Tim Burton : James Dale / Art Land
1997 : Pour le pire et pour le meilleur (As Good as It Gets) de James L. Brooks : Melvin Udall


Années 2000
2001 : The Pledge de Sean Penn : Jerry Black
2002 : Monsieur Schmidt (About Schmidt) d'Alexander Payne : Warren R. Schmidt
2003 : Self Control (Anger Management) de Peter Segal : le docteur Buddy Rydell
2003 : Tout peut arriver (Something's Gotta Give) de Nancy Meyers : Harry Sanborn
2006 : Les Infiltrés (The Departed) de Martin Scorsese : Frank Costello
2007 : Sans plus attendre (The Bucket List) de Rob Reiner : Edward Cole


Années 2010
2010 : Comment savoir (How Do You Know) de James L. Brooks : Charles


Télévision


En tant que scénariste


En tant que réalisateur


Distinctions
Cette section récapitule les principales récompenses et nominations obtenues par Jack Nicholson. Pour une liste plus complète, consulter IMDb.
AFI (American Film Institute)

1994 : American Film Institute Life Achievement Award pour l'ensemble de sa carrière.Festival de Cannes

1974 : Prix d'interprétation masculine pour La Dernière CorvéeOscars

1970 : Nomination à l'Oscar du meilleur acteur dans un second rôle pour Easy Rider
1971 : Nomination à l'Oscar du meilleur acteur pour Cinq pièces faciles
1974 : Nomination à l'Oscar du meilleur acteur pour La Dernière Corvée
1975 : Nomination à l'Oscar du meilleur acteur pour Chinatown
1976 : Oscar du meilleur acteur pour Vol au-dessus d'un nid de coucou
1982 : Nomination à l'Oscar du meilleur acteur dans un second rôle pour Reds
1984 : Oscar du meilleur acteur dans un second rôle pour Tendres Passions
1986 : Nomination à l'Oscar du meilleur acteur pour L'Honneur des Prizzi
1988 : Nomination à l'Oscar du meilleur acteur pour Ironweed
1993 : Nomination à l'Oscar du meilleur acteur dans un second rôle pour Des hommes d'honneur
1998 : Oscar du meilleur acteur pour Pour le pire et pour le meilleur
2003 : Nomination à l'Oscar du meilleur acteur pour Monsieur SchmidtBAFTA

1970 : Nomination au BAFTA du meilleur acteur dans un second rôle pour Easy Rider
1975 : BAFTA du meilleur acteur pour La Dernière Corvée et Chinatown
1977 : BAFTA du meilleur acteur pour Vol au-dessus d'un nid de coucou
1983 : BAFTA du meilleur acteur dans un second rôle pour Reds
1990 : Nomination au BAFTA du meilleur acteur dans un second rôle pour Batman
2003 : Nomination au BAFTA du meilleur acteur pour Monsieur Schmidt
2007 : Nomination au BAFTA du meilleur acteur dans un second rôle pour Les InfiltrésGolden Globes

1970 : Nomination au Golden Globe du meilleur acteur dans un second rôle pour Easy Rider
1971 : Nomination au Golden Globe du meilleur acteur dans un film dramatique pour Cinq pièces faciles
1972 : Nomination au Golden Globe du meilleur acteur dans un film dramatique pour Ce plaisir qu'on dit charnel
1974 : Nomination au Golden Globe du meilleur acteur dans un film dramatique pour La Dernière Corvée
1975 : Golden Globe du meilleur acteur dans un film dramatique pour Chinatown
1976 : Golden Globe du meilleur acteur dans un film dramatique pour Vol au-dessus d'un nid de coucou
1982 : Nomination au Golden Globe du meilleur acteur dans un second rôle pour Reds
1984 : Golden Globe du meilleur acteur dans un second rôle pour Tendres Passions
1986 : Golden Globe du meilleur acteur dans un film musical ou une comédie pour L'Honneur des Prizzi
1988 : Nomination au Golden Globe du meilleur acteur dans un film dramatique pour Ironweed
1990 : Nomination au Golden Globe du meilleur acteur dans un film musical ou une comédie pour Batman
1993 : Nomination au Golden Globe du meilleur acteur dans un film dramatique pour Hoffa
1993 : Nomination au Golden Globe du meilleur acteur dans un second rôle pour Des hommes d'honneur
1998 : Golden Globe du meilleur acteur dans un film musical ou une comédie pour Pour le pire et pour le meilleur
1999 : Cecil B. DeMille Award pour sa contribution exceptionnelle dans le domaine du spectacle.
2003 : Golden Globe du meilleur acteur dans un film dramatique pour Monsieur Schmidt
2004 : Nomination au Golden Globe du meilleur acteur dans un film musical ou une comédie pour Tout peut arriver
2007 : Nomination au Golden Globe du meilleur acteur dans un second rôle pour Les InfiltrésAutres

1988 : Saturn Award du meilleur acteur pour Les sorcières d'Eastwick
1997 : Satellite Awards du meilleur acteur dans une comédie pour Mars Attacks!
1998 : Screen Actors Guild Awards du meilleur acteur pour Pour le pire et pour le meilleur


Voix francophones
En France, Jack Nicholson a été doublé à 27 reprises par Jean-Pierre Moulin de 1973 et le film La Dernière Corvée jusqu'au film Comment savoir sorti en 2010. Il a également été doublé à trois reprises par Michel Roux dans Easy Rider, Cinq pièces faciles et La Bonne Fortune et par Michel Paulin dans La Mort tragique de Leland Drum, Chinatown et Profession : reporter. Dans The Two Jakes, la suite de Chinatown, Michel Paulin est remplacé par Serge Sauvion.
À titre exceptionnel, Jack Nicholson a été doublé par Philippe Ogouz dans Le Corbeau, Bernard Murat dans Le Retour des Anges de l'enfer, Georges Poujouly dans Psych-Out, Philippe Mareuil dans Melinda, Bernard Tiphaine dans Ce plaisir qu'on dit charnel, Jean-Louis Trintignant dans Shining, Claude Giraud dans Reds, Patrick Floersheim dans La Brûlure, Gérard Rinaldi dans Man Trouble et par Patrick Messe dans Mars Attacks!. Patrick Béthune le double dans le doublage de 2005 du film L'Halluciné sorti en 1963.
Au Québec, Jack Nicholson fut doublé par Vincent Davy puis par Guy Nadon.

Versions françaises :
Jean-Pierre Moulin dans Vol au-dessus d'un nid de coucou, Les Sorcières d'Eastwick, Batman, Des hommes d'honneur, Les Infiltrés, etc.Versions québécoises (la liste indique les titres québécois) :
Guy Nadon dans Des hommes d'honneur, Monsieur Schmidt, Méchant Malade, Quelque chose d'inattendu, Agents troubles, etc.
Vincent Davy dans Les Sorcières d'Eastwick, Batman, Loup, Mars attaque!, La Promesse


Notes et références


Voir aussi


Bibliographie
Peter Biskind, Le Nouvel Hollywod, Le Cherche midi, 2006, 692 p. (ISBN 978-2-86274-892-4)


Liens externes

Ressources relatives à l'audiovisuel : AllMovie Allociné American Film Institute British Film Institute Ciné-Ressources Filmportal IMDb Oscars du cinéma Rotten Tomatoes Unifrance
Ressources relatives à la musique : AllMusic Discogs MusicBrainz Muziekweb Songkick
Ressource relative à plusieurs domaines : Metacritic
Ressource relative à la bande dessinée : Comic Vine

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Origines géographiques

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