Thérèse de LISIEUX

Généalogie de Thérèse de LISIEUX

Saints et saintes

FrançaisNé(e) Marie Françoise Thérèse MARTIN

Sainte Catholique

Né(e) le 2 janvier 1873 à Alençon, France , France

Décédé(e) le 30 septembre 1897 à Lisieux, France

Origine du nom

Le plus populaire des noms de famille, sous ses diverses formes. Saint Martin, évêque de Tours et partageur de manteaux, qui évangélisa la Gaule au IVe siècle, fut en effet considéré par les populations médiévales comme le symbole de la victoire du christianisme sur les traditions païennes. Etymologie : latin Martinus (dérivé du nom du dieu Mars).

Son arbre généalogique

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Thérèse Martin naît au 12 rue Saint-Blaise à Alençon, le 2 janvier 1873.



Son père Louis Martin (°1823 - †1894) est horloger, et sa mère Zélie-Marie Guérin (°1831 - †1877) dentellière du point d'Alençon. Tous les deux, de la plus grande piété, font partie de la bourgeoisie aisée d'Alençon. Louis aurait voulu devenir chanoine dans la congrégation des chanoines réguliers du Grand Saint-Bernard (Valais - Suisse), mais son ignorance du latin l’en empêcha. Zélie-Marie avait voulu entrer au couvent, mais on lui avait répondu qu’elle n’avait pas la vocation. Aussi s'était-elle promis, si elle se mariait, de donner si possible tous ses enfants à l'Église.

...   Thérèse Martin naît au 12 rue Saint-Blaise à Alençon, le 2 janvier 1873.



Son père Louis Martin (°1823 - †1894) est horloger, et sa mère Zélie-Marie Guérin (°1831 - †1877) dentellière du point d'Alençon. Tous les deux, de la plus grande piété, font partie de la bourgeoisie aisée d'Alençon. Louis aurait voulu devenir chanoine dans la congrégation des chanoines réguliers du Grand Saint-Bernard (Valais - Suisse), mais son ignorance du latin l’en empêcha. Zélie-Marie avait voulu entrer au couvent, mais on lui avait répondu qu’elle n’avait pas la vocation. Aussi s'était-elle promis, si elle se mariait, de donner si possible tous ses enfants à l'Église.



Louis et Zélie-Marie se rencontrent en 1858 et se marient le 13 juillet, tout en ayant décidé de vivre comme frère et sœur dans une continence perpétuelle. Leur confesseur les en ayant dissuadés, ils ont neuf enfants, mais seules cinq filles parviennent à l'âge adulte. Thérèse est la plus jeune ; c'est elle qui devient en religion « Thérèse de l’Enfant-Jésus et de la Sainte Face ». Ses quatre sœurs deviennent également toutes religieuses.



À quatre ans et demi, Thérèse perd sa mère emportée par un cancer du sein le 28 août 1877. La famille s’installe alors à Lisieux pour se rapprocher du frère de Zélie, le pharmacien Isidore Guérin. Son éducation est l'œuvre, en grande partie, des bénédictines de Lisieux. Après l’entrée de sa sœur Pauline, "sa seconde maman", dans les ordres en octobre 1882, Thérèse tombe gravement malade. Elle passe près de la mort, mais elle est sauvée le 13 mai 1883 après avoir prié avec ferveur devant la statue de la Vierge placée dans la chambre. Un miracle se produit, elle voit la Vierge lui sourire. Sa sœur aînée, Marie, rentre dans les ordres en octobre 1886. Après le départ de sa "troisième maman", Thérèse pleure à propos de tout jusqu'à sa complète conversion après la messe de minuit de Noël 1886. Cette nuit-là, le Seigneur lui donne sa force divine. Après la condamnation à mort de l'assassin Pranzini au cours de l'été 1887, Thérèse trouve sa vocation : la conversion des pécheurs par ses prières et le don de sa personne à l'Amour Miséricordieux. Pranzini ayant embrassé la Croix avant de mourir, elle va continuer de prier pour tous les pécheurs et souhaite rentrer au Carmel de Lisieux dès Noël 1887, mais elle devra attendre jusqu'au 9 avril 1888.



À l'âge de quinze ans et trois mois, elle devient enfin carmélite, le 9 avril 1888, après avoir vainement essayé plus tôt d'obtenir une dérogation de Léon XIII qu’elle avait sollicitée directement lors d'un voyage familial à Rome en novembre 1887.



Huit ans plus tard, en 1896, elle est atteinte de la tuberculose. A la même époque, elle souffre de déréliction (nuit de la foi) qu'elle traversa « en se jetant dans l'Amour ».



Elle meurt de la tuberculose à Lisieux le 30 septembre 1897 à 24 ans et demi, laissant une autobiographie, L’Histoire d’une âme, que sa supérieure, « mère Agnès », lui avait demandé de rédiger. Histoire d'une âme, dont la première édition date de 1898, est, après la Bible, le livre le plus traduit en de très nombreuses langues.[réf. nécessaire] Elle y explique ce qu’elle appelle la « petite voie », une petite voie, selon elle, toute droite pour aller à Dieu, faite d’humilité et d’absolue confiance dans Sa Miséricorde, un chemin praticable par tous. « Je ne meurs pas, j'entre dans la vie. » Thérèse de l’Enfant Jésus et de la Sainte Face.







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Origines géographiques

La carte ci-dessous indique les communes d'origine des ancêtres de la personnalité.

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