Généalogie de Paul DEROULEDE
Ecrivains, Poètes, Députés, sénateurs, membres du conseil Constitutionnel
Né(e) Paul DEROULEDE
Poète, auteur dramatique, romancier et militant politique français
Né(e) le 2 septembre 1846 à Paris , France
Décédé(e) le 30 janvier 1914 à Nice , France
Origine du nom
Porté en Dordogne, écrit aussi Déroulède, désigne celui qui est originaire de Roulède, hameau à Corgnac-sur-l'Isle (24).
Son arbre généalogique
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Plus d'informations
Son rôle de fondateur de la Ligue des patriotes et son revanchisme en font un acteur important de la droite nationaliste en France. Il est considéré par de nombreux historiens comme l'un des précurseurs d'un fascisme à la française,,,.
Alors qu'il s'affirme comme républicain, il tente toutefois d'effectuer un coup d'État en 1899 après la défaite cuisante des nationalistes aux élections législatives de 1898. Aidé de Barrès, de Pujo et, espère-t-il, du général Roget, cette tentative se solde par un échec après le refus de ce dernier d'y participer avec ses troupes. ... Paul Déroulède est un poète, auteur dramatique, romancier et militant politique français né le 2 septembre 1846 à Paris et mort le 31 janvier 1914 à Nice, sur le mont Boron.
Son rôle de fondateur de la Ligue des patriotes et son revanchisme en font un acteur important de la droite nationaliste en France. Il est considéré par de nombreux historiens comme l'un des précurseurs d'un fascisme à la française,,,.
Alors qu'il s'affirme comme républicain, il tente toutefois d'effectuer un coup d'État en 1899 après la défaite cuisante des nationalistes aux élections législatives de 1898. Aidé de Barrès, de Pujo et, espère-t-il, du général Roget, cette tentative se solde par un échec après le refus de ce dernier d'y participer avec ses troupes.
S'il est un partisan moins extrême que certains de ses compagnons de l'antisémitisme en France,, il s'oppose tout de même à la gauche, qu'il accuse de vouloir « judaïser la France » lorsque des députés de gauche proposent une loi pour instaurer la laïcité. Il appuie aussi son coup d'État sur ses partisans, dont la plupart sont des antisémites notoires.
Déroulède tient des déclarations antisémites à d'autres reprises, et utilise le ressort de l'antisémitisme pour mobiliser les masses. Il est l'un des députés qui lancent le thème du « Juif capitaliste véreux » à l'Assemblée. Avec Barrès, il critique le général Boulanger pour son refus de l'antisémitisme.
Biographie
Débuts
Fils d'un avoué à la Cour d'appel de Paris et neveu par sa mère d'Émile Augier, il est l'arrière petit-fils de Pigault-Lebrun. Il suit ses études aux lycées Louis-le-Grand, Bonaparte et de Versailles, puis à la faculté de droit de Paris où il obtient une licence.
Il entretient une relation avec Madeleine Brohan, avec qui il a un fils, Paul Langély Déroulède, né en 1866 à Paris[réf. nécessaire].
Guerre de 1870
Jusqu'à la guerre de 1870, c'est un versificateur (admirant beaucoup Le Cid) qui fréquente les milieux littéraires républicains. Assez insouciant et peu intéressé par la guerre, il rencontre Victor Duruy qui devient son patron, le lance dans le nationalisme et le fait aussitôt nommer sous-lieutenant en faisant jouer ses relations au gouvernement, alors qu'il n'a aucune expérience militaire.
Il s'engage fin août 1870, avec son jeune frère André, au 3e régiment de zouaves, unité d'élite, au sein du bataillon du commandant Félix Hervé, futur général, qui restera son « vieil ami jusqu'à sa mort » ; le général Hervé témoignera en sa faveur à son procès en 1899. Il est fait prisonnier après la bataille de Bazeilles en septembre puis interné à la forteresse de Breslau, d'où il s'évade en novembre. En décembre, il s'engage au régiment de marche de tirailleurs algériens, stationné à l'ouest de Meung-sur-Loire. Au sein de l'armée de l'Est du général Bourbaki, sous-lieutenant à la tête de sa section de tirailleurs, il se distingue le 15 janvier 1871 à Montbéliard ce qui lui vaut d'être fait chevalier de la Légion d'honneur le 8 février 1871. Il participe ensuite à la répression de la Commune de Paris.
Il est blessé à la fin de la semaine sanglante de mai et c'est durant sa convalescence qu'il écrit Les Chants du soldat, parus en 1872. À la suite d'une chute de cheval et une fracture du tibia, il doit renoncer à la carrière militaire et retourne à la vie civile en 1875.
Carrière littéraire et politique
Désormais, par son œuvre littéraire et son action politique, il incarne la France de la « revanche » en réclamant le retour de l'Alsace et de la Lorraine. Il écrit les Chants du soldat (1872), vendus à plus de 100 000 exemplaires, dont le fameux Clairon, qui lui vaut la gloire et reste longtemps au programme scolaire. Son texte de Profundis relève de l'antiméridionalisme,.
À l'instigation de Gambetta, Déroulède, dont la devise est « Qui vive ? France ! », crée la Ligue des patriotes en 1882. Cette passion pour la « revanche » sur l'Allemagne lui vaut de devenir également l'un des chefs du parti anticolonial. Pour lui, la conquête coloniale épuiserait l'énergie dont la France a besoin pour la future guerre contre l'Allemagne. De même, il estime que jamais les colonies ne pourraient offrir une compensation à la perte de l'Alsace-Lorraine et c'est dans ce sens qu'il répond au colonialiste Jules Ferry : « J'avais deux filles, et vous m'offrez vingt domestiques ». Adepte du général Boulanger (« celui qui nous délivrera des chinoiseries parlementaires et des bavards impuissants »), il est porté par sa notoriété à la Chambre des députés en 1889[réf. nécessaire]. Le 27 janvier 1889, il tente en vain de persuader le général Boulanger de marcher sur l'Élysée. Le Gouvernement dissout alors la Ligue des patriotes, et après la fuite de Boulanger, Déroulède reste député de la Charente de 1889 à 1893 et de 1898 à 1901.
Anticolonialiste au nom de la revanche (cela « disperse les énergies françaises »), défendant le catholicisme avec parfois des accents antisémites (repos dominical, refus de la séparation), il attaque vivement Clemenceau lors du scandale de Panama.
Profitant des obsèques de Félix Faure en 1899, il entreprend le coup d'État que le général Boulanger avait refusé dix ans plus tôt. Il tente en effet de faire tourner bride au général Roget et à ses troupes pour prendre l’Élysée. Arrêté, acquitté en cour d'assises, jugé en Haute Cour et, finalement, banni (expulsé en Espagne), il bénéficie d'une amnistie en 1905. Il renonce à sa carrière politique après l'échec des élections de 1906 dans son département de la Charente.[réf. nécessaire]. Il faut noter que[évasif] parmi les transformations qu'il a demandées dans le domaine constitutionnel, beaucoup se sont retrouvées dans la constitution de la Ve République. Le personnage est complexe dans la limite où il a porté un jugement sévère sur ses poèmes et chansons, dont il savait bien la nature d’œuvres de propagande, donc vouées à l’éphémère. Il estimait cependant ce sacrifice nécessaire.[réf. nécessaire]En 1900, en exil, il a une correspondance avec Yvonne Lorrain, future mère du président François Mitterrand.
En 1908, malgré l'insistance de Maurice Barrès, Paul Déroulède refuse de poser sa candidature à l'Académie française à la mort de François Coppée : « Ma place n'est pas parmi votre élite, elle est dans la foule. Je puis m'en tenir à l'écart, mais je dois toujours être prêt à reprendre contact avec elle… L'habit à palmes vertes et l'épée à poignée de nacre me transformeraient trop. »[réf. nécessaire]
Fin de vie
Dès lors, Paul Déroulède se retire à Langely (commune de Gurat, Charente) où il entreprend la rédaction de ses Feuilles de route. Cependant, peu à peu, il se retrouve laissé de côté par les nouveaux nationalistes qui (comme l'écrivent les frères Tharaud) « pensent comme lui mais refusent d'admirer les moyens dont il s'est servi ».
Il meurt d'une crise d'urémie dans sa propriété du mont Boron avec une bénédiction papale[réf. nécessaire]. Sa dépouille est ramenée à Paris, où le cortège funèbre est honoré par une foule énorme, estimée à plus de cent mille Parisiens.
Il est enterré dans la chapelle funéraire familiale au cimetière de la Celle-Saint-Cloud en banlieue parisienne, où reposent aussi les écrivains Charles Pigault-Lebrun, son arrière-grand-père, et Émile Augier, son oncle maternel.
Antisémitisme
Lors de l'affaire Dreyfus (1894 - 1906), Paul Déroulède, quoique défendant l'armée, croit Dreyfus innocent ; malgré ses préjugés contre les Juifs, il ne rallie pas le slogan « À bas les juifs ». Cependant, il accuse la gauche de vouloir « judaïser la France » lorsque des députés de gauche proposent une loi pour instaurer la laïcité dans les années 1890.
Déroulède tient des déclarations antisémites à d'autres reprises, et utilise le ressort de l'antisémitisme pour mobiliser les masses. Il est l'un des députés qui lancent le thème du « Juif capitaliste véreux » à l'Assemblée. Avec Barrès, il critique le général Boulanger pour son refus de l'antisémitisme.
Il préface aussi le pamphlet antisémite d'Augustin-Joseph Jacquet, La République plébiscitaire : mémoires sur les moyens pratiques d'arriver à l'anéantissement de la puissance juive en France. Dans cette préface, il se défend de tout antisémitisme, mais tient pourtant les propos suivants à l'égard des juifs :
« Je suis loin de nier qu'il y a dans l'antisémitisme un sentiment de rancune nationale et de patriotiques inquiétudes parfaitement justifiées. [...] Ils ont envahi tous les temples maçonniques du globe qui sont autant de temples de Jérusalem. Ils ne se refusent pas seulement à se laisser assimiler, ils mettent leur orgueil à tâcher de rendre les autres semblables à eux-mêmes. La corruption qu'ils sèment à pleines mains n'a pas pour unique visée le triomphe de leurs intérêts. Ils y cherchent aussi le triomphe de leur orgueil. C'est tout un système politique. D'abord, ce qui abaisse autrui les relève, et puis, ils préparent par là le milieu décomposé nécessaire à l'expansion de leur parasitisme débordant. Démilitariser, décatholiciser, dénationaliser la France, voilà leur triple but.
[...] Déjà le pouvoir occulte ne leur suffit plus, ils rêvent du pouvoir visible respecté, officiel. A des présidents de la République judaïsés, ils ne désespèrent pas de faire succéder quelque jour un président juif. »
Dans ce texte, il soutient aussi qu'Édouard Drumont, le père de l'antisémitisme en France, est un « prophète ».
Hommages et critiques
Jean Jaurès profite de sa mort pour tenter d'alerter l'opinion publique, le 4 février 1914, en faisant un réquisitoire dans L'Humanité contre le revanchisme antiallemand que Déroulède a promu toute sa vie, cinq mois avant son assassinat et le début de la Première Guerre mondiale. Il l'accuse d'utopisme dans son idée que la guerre qu'il souhaitait serait rapidement terminée, sans effusion de sang et sans gêne :
« Son idée d'une revanche bien ordonnée, bien circonscrite, avec « un clairon qui sonne la charge » et qui sonne aussi le retour, est à la réalité immense et terrible ce qu'un tableau de Detaille ou un groupe de Mercié est à une bataille de Mandchourie.
Pas une minute cet homme n'a songé à ce que serait demain, dans une Europe saturée de conflits politiques et sociaux, la levée en masse de grandes nations, la rencontre inouïe de plusieurs millions de soldats-citoyens brûlant de toutes les fièvres. Il a entrevu un combat bien propre, bien vernissé, avec quelques traits de courage exalté et quelques fleurs sur la tombe des héros, et puis, la douceur d'une éternelle idylle.
Il n'est pas de plus fragile chimère : et c'est la forme du pacifisme la plus rudimentaire et la plus utopique qui se puisse concevoir. »
Deux avenues de Paris portaient son nom, mais il n'en subsiste qu'une, l'avenue Paul Déroulède, dans le 15e arrondissement, après qu'une des deux a été rebaptisée avenue du Général-Lemonnier, mort pour la France lors de la Seconde Guerre mondiale,,. Une rue de Bois-Colombes porte encore son nom.
Duels
Déroulède s’est battu deux fois dans des duels au pistolet :
contre Georges Clemenceau, que Déroulède avait accusé de corruption dans le scandale de Panama. Le duel a lieu le 23 décembre 1892 au champ de courses de Saint-Ouen, devant 300 personnes contenues par des gendarmes ; six balles échangées au commandement à 25 m, sans conséquence ; Jules Renard, dans son journal, pense que Déroulède a tiré en l'air lors de son duel au pistolet contre Clemenceau, se demandant s'il fera pareil avec Maurice Barrès.
contre Jean Jaurès à Hendaye le 4 décembre 1904 : après un trait d'ironie de Jaurès publié dans L'Humanité à propos d'une manifestation nationaliste devant la statue de Jeanne d'Arc à Paris, Paul Déroulède envoie une lettre de réponse le 30 novembre 1904 dans laquelle il accable Jean Jaurès. Ce dernier défie Déroulède en duel, bien qu'il considère ce défi comme « un geste ridicule mais nécessaire ».
Principales publications
Chants du soldat, Paris, Michel Lévy frères (1872) ; prix Montyon (1873) et prix Jean Reynaud (1894) de l’Académie française.
Nouveaux Chants du soldat, Paris, Calmann-Lévy (1875).
Chants du soldat - Marches et sonneries, Paris, Calmann-Lévy (1881).
De l'éducation militaire, Paris, Librairie Nouvelle (1882).
Le Premier Grenadier de France, La Tour d'Auvergne - étude biographique, Paris, Georges Hurtrel artiste-éditeur (1886).
Le Livre de la Ligue des patriotes, extraits des articles et discours de Paul Déroulède (1887).
Histoire d'amour, Paris, Calmaan-Lévy (1890)
Chants du paysan, Calmann-Lévy (1894) ; prix Jean Reynaud (1894) de l’Académie française.
Poésies militaires, illustrations de Pierre Georges Jeanniot, Paris, Calmann-Lévy (1896).
Affaire de la place de la Nation, procès Paul Déroulède - Marcel Habert : cour d'assises de la Seine, 29 juin 1899. Discours de Paul Déroulède et de Marcel Habert aux jurés de la Seine (1899)
1870 - Feuilles de route des Bois de Verrières à la Forteresse de Breslau, Paris, Société d'Édition et de Publications / Librairie Félix Juven (1907) ; rééd. La Délégation des siècles, 2023 (ISBN 979-8385927364)
70-71 - Nouvelles feuilles de route - De la Forteresse de Breslau aux Allées de Tourny, Paris, Société d'Édition et de Publications / Librairie Félix Juven (1907) ; rééd. La Délégation des siècles, 2023 (ISBN 979-8385927364)
Pages françaises, précédées d'un essai par Jérôme et Jean Tharaud, Paris, Bloud et Cie (1909).
Qui vive ? France ! « Quand même » - Notes et discours (1883-1910), Paris, Bloud et Cie (1910).ThéâtreJuan Strenner, drame en 1 acte, en vers, Théâtre-Français, 9 juin 1869
L'Hetman, drame en 5 actes, en vers, Théâtre de l'Odéon, 2 février 1877
La Moabite, drame, 1881
Messire du Guesclin, drame historique en 3 actes, 1 prologue, 1 épilogue, Théâtre de la Porte-Saint-Martin, 22 octobre 1895
La Mort de Hoche, 5 actes en prose, Théâtre de la Porte-Saint-Martin, 5 octobre 1897
La Plus Belle Fille du monde, conte dialogué en vers libres, Comédie-Française, 24 décembre 1897
Bibliographie
Marie Aynié, « Une justification du coup de force de Déroulède du 23 février 1899 », Parlement(s) : revue d'histoire politique, Paris, L'Harmattan, no 12 « À l'heure du coup d'État », décembre 2009, p. 108-112 (ISSN 1768-6520, lire en ligne).
Antoine de Baecque, Paul Déroulède poète patriote : la souffrance, la gloire, l'école, 1870-1885, Paris, Institut d'études politiques de Paris, 1987.
Antoine de Baecque, « Le poète de la « Revanche » », L'Histoire, no 152 « dossier Paul Déroulède, poète, patriote et putschiste », mars 1992, p. 38-40.
Bertrand Joly, Paul Déroulède, thèse de doctorat, Paris IV, 1996, 4 vol. dactylographiés.
Bertrand Joly, Déroulède : l'inventeur du nationalisme français, Paris, Perrin, 1988, 440 p. (ISBN 2-262-01331-4, présentation en ligne), [présentation en ligne], [présentation en ligne].
Bertrand Joly, Dictionnaire biographique et géographique du nationalisme français, 1880-1900 : boulangisme, ligue des patriotes, mouvements antidreyfusards, comité antisémites, Paris, Honoré Champion, coll. « Dictionnaires & références » (no 2), 1998, 687 p. (ISBN 2-85203-786-6, présentation en ligne), [présentation en ligne].
Bertrand Joly, « L'évolution de Paul Déroulède et de la Ligue des patriotes (1900-1913) », Mil neuf cent : Revue d'histoire intellectuelle, Société d’études soréliennes, no 19 « Y a-t-il des tournants historiques ? 1905 et le nationalisme », 2001, p. 109-117 (lire en ligne).
Bertrand Joly, Nationalistes et conservateurs en France : 1885-1902, Paris, Les Indes savantes, 2008, 390 p. (ISBN 978-2-84654-130-5).
(en) Maurice Larkin, « « La République en danger ? » : The Pretenders, the Army and Déroulède, 1898–1899 », The English Historical Review, vol. 100, no 394, janvier 1985, p. 85-105 (JSTOR 569928).
Michel Winock, « La république de Paul Déroulède », L'Histoire, no 152 « dossier Paul Déroulède, poète, patriote et putschiste », mars 1992, p. 40-46.
Michel Winock, Nationalisme, antisémitisme et fascisme en France, Paris, Éditions du Seuil, coll. « Points. Histoire » (no H131), 2014 (1re éd. 1982, sous le titre Édouard Drumont et Cie : antisémitisme et fascisme en France), 504 p. (ISBN 978-2-7578-4307-9, présentation en ligne).
Voir aussi
Archives
Les papiers personnels de Paul Déroulède sont conservés aux Archives nationales, site de Pierrefitte-sur-Seine, sous la cote 401AP : Inventaire du fonds.
Iconographie
Buste de Paul Déroulède devant la mairie de Gurat, où Paul Déroulède écrivit Feuilles de route et Nouvelles feuilles de route.
Statue de Paul Déroulède par Paul Landowski, devant l’entrée du square Marcel-Pagnol, située avenue César-Caire, dans le 8e arrondissement de Paris — Monument Paul Déroulède - Paul Landowski, sur Paul-landowski.com.
Buste de Paul Déroulède dans la salle Marcel Proust du lycée Condorcet, dans le 9e arrondissement de Paris.
Articles connexes
Liens externes
Ressources relatives à la musique : International Music Score Library Project Discography of American Historical Recordings MusicBrainz
Ressource relative à la littérature : Académie française (lauréats)
Ressource relative au spectacle : Les Archives du spectacle
Ressource relative à la vie publique : Base Sycomore
Ressource relative aux militaires : base Léonore
Ressource relative à la recherche : Isidore
Ressource relative aux beaux-arts : AGORHA
Notes et références
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Origines géographiques
La carte ci-dessous indique les communes d'origine des ancêtres de la personnalité.