Hubert CURIEN

Généalogie de Hubert CURIEN

Physiciens, Ministres & secrétaires d'Etat français (présidence Mitterrand)

FrançaisNé(e) Hubert CURIEN

Cristallographe français, ministre de la Recherche et de la Technologie

Né(e) le 30 octobre 1924 à Cornimont, France , France

Décédé(e) le 6 février 2005 à Loury, France

Origine du nom

Fréquent dans les Vosges et les départements voisins, c'est une variante de Quirin (voir ce nom). Avec le même sens : Cuirin, Curin, Cuirien. À noter que la commune de Saint-Quirin (57) s'est aussi appelée Saint-Curien (1483), Saint-Curin (1620) et qu'en lorrain roman son nom est Saint Kurieng.

Son arbre généalogique

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Plus d'informations

Hubert Curien, né le 30 octobre 1924 à Cornimont (Vosges) et décédé le 6 février 2005 à Loury (Loiret), est un cristallographe français, ministre de la Recherche et de la Technologie de 1984 à 1986 puis de 1988 à 1993. Il est le père de Nicolas Curien et de Pierre-Louis Curien.



Hubert Curien est né d'un père receveur municipal, Robert Curien, et d'une mère institutrice, Berthe Girot. Élève du lycée Saint-Louis à Paris, il revient cependant à vingt ans dans les Vosges pour s'engager dans la résistance au maquis de la Piquante-Pierre. Reprenant le cours de ses études à la Libération, il choisit d'entrer à l'École normale supérieure de préférence à l'École polytechnique en raison d'une faiblesse au genou contractée au maquis. Il se lance alors dans une carrière scientifique par la porte de la cristallographie.

...   Hubert Curien, né le 30 octobre 1924 à Cornimont (Vosges) et décédé le 6 février 2005 à Loury (Loiret), est un cristallographe français, ministre de la Recherche et de la Technologie de 1984 à 1986 puis de 1988 à 1993. Il est le père de Nicolas Curien et de Pierre-Louis Curien.



Hubert Curien est né d'un père receveur municipal, Robert Curien, et d'une mère institutrice, Berthe Girot. Élève du lycée Saint-Louis à Paris, il revient cependant à vingt ans dans les Vosges pour s'engager dans la résistance au maquis de la Piquante-Pierre. Reprenant le cours de ses études à la Libération, il choisit d'entrer à l'École normale supérieure de préférence à l'École polytechnique en raison d'une faiblesse au genou contractée au maquis. Il se lance alors dans une carrière scientifique par la porte de la cristallographie.



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Origines géographiques

La carte ci-dessous indique les communes d'origine des ancêtres de la personnalité.

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