Yves COCHET

Généalogie de Yves COCHET

Ministres & secrétaires d'Etat français (présidence Chirac)

FrançaisNé(e) Yves COCHET

Ministre de l'Aménagement du territoire et de l'Environnement, député européen

Né(e) le 15 février 1946 à Rennes, Ille-et-Vilaine , France (78 ans)

Origine du nom

Cochet : Diminutif de coq, c'est sans doute un sobriquet désignant un petit homme vaniteux, ou encore un coureur de jupons. Le nom est fréquent dans l'Aisne, mais aussi en Savoie. Variante : Cochez (59).

Son arbre généalogique

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Plus d'informations

Après plusieurs candidatures sans succès aux législatives en Bretagne et dans le Nord où il théorise le « nomadisme électoral », il est élu député du Val-d'Oise en 19976 ; il fait alors partie des sept premiers élus écologistes au Parlement français. Il devient vice-président de l'Assemblée nationale.



En 2001, il signe la mise en accusation de Jacques Chirac initiée par Arnaud Montebourg puis retire sa signature en expliquant qu'elle pourrait empêcher sa nomination comme ministre par le président de la République.

...   Après plusieurs candidatures sans succès aux législatives en Bretagne et dans le Nord où il théorise le « nomadisme électoral », il est élu député du Val-d'Oise en 19976 ; il fait alors partie des sept premiers élus écologistes au Parlement français. Il devient vice-président de l'Assemblée nationale.



En 2001, il signe la mise en accusation de Jacques Chirac initiée par Arnaud Montebourg puis retire sa signature en expliquant qu'elle pourrait empêcher sa nomination comme ministre par le président de la République.



Il devient ministre de l'Environnement et de l'Aménagement du territoire du gouvernement de Lionel Jospin en juin 2001, succédant à Dominique Voynet qui venait de démissionner pour pouvoir postuler au secrétariat national des Verts. Le 15 octobre 2001, il crée avec le ministre chargé de l'agriculture Jean Glavany, l'Agence bio.



Considérant que sa circonscription du Val-d'Oise rendait sa réélection aléatoire[réf. nécessaire], il se parachute dans la 11e circonscription de Paris (une partie du 14e arrondissement). Le 16 juin 2002, il y est élu député pour la XIIe législature (2002-2007).



Il travaille sur le dossier de la crise énergétique, notamment sur la « fin du pétrole bon marché », et publie en 2005 un livre sur ce sujet Pétrole apocalypse (Fayard). Son précédent livre, Sauver la Terre (Fayard), avait été écrit en collaboration avec Agnès Sinaï. Ses ouvrages tentent de faire prendre conscience de la gravité du danger d'effondrement imminent qui pèse désormais sur la civilisation.



En 2005, il a fait campagne pour le « oui » lors du référendum français sur le traité établissant une constitution pour l'Europe.



Candidat à l’investiture pour représenter les Verts à l’élection présidentielle française de 2007, Yves Cochet obtient le 21 avril 2006 à la primaire interne de son parti 28,33 % des votes des adhérents, contre 35,45 % pour Dominique Voynet, dépassant Cécile Duflot (23 %). Le second tour n’ayant pas réussi à départager les deux candidats (égalité des voix), un second vote est organisé en juillet 2006. Dominique Voynet le devance le 18 juillet de 57 voix et devient la candidate des Verts pour l’élection présidentielle de 2007.



Candidat à sa réélection de député en juin 2007, il l’emporte facilement au second tour face à l’UMP Nicole Guedj, avec plus de 57 % des suffrages exprimés.



Connu pour être un des seuls hommes politiques français spécialistes de la déplétion pétrolière, Yves Cochet est président du groupe d’étude sur les pics pétroliers et gaziers à l’Assemblée. Il a interrogé le gouvernement à la suite de la diffusion, en octobre 2009, d'un documentaire sur l'exportation de déchets radioactifs en Sibérie.



Il a déclaré être pour la « grève du troisième ventre », c’est-à-dire pour la diminution des aides financières au troisième enfant. En 2019 il ajoute que cela pourrait « permettre aux occidentaux de mieux accueillir les migrants ».



Il se met en « grève de la viande » durant le Sommet de l'ONU sur le climat à Copenhague (2009) pour exiger une reconnaissance de l'impact de la viande sur l'environnement, la sous-alimentation humaine et la souffrance animale. Il réclame un moratoire sur l’élevage intensif et des mesures énergiques pour faire baisser la consommation de produits d'origine animale.



Le 6 décembre 2011, il est élu député européen, de même que l'UMP Jean Roatta, par l'Assemblée nationale, dans le cadre d'une procédure exceptionnelle visant à faire désigner les deux eurodéputés supplémentaires prévus par le traité de Lisbonne par l'Assemblée nationale et non par le suffrage universel. À l'approche des élections législatives de juin 2012, son siège reste vacant.



Il soutient Karima Delli pour la primaire française de l'écologie de 2016.



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Origines géographiques

La carte ci-dessous indique les communes d'origine des ancêtres de la personnalité.

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