Hugo CLEMENT

Généalogie de Hugo CLEMENT

Journalistes, Personnalités du monde audiovisuel françaises

FrançaisNé(e) Hugo CLEMENT

Journaliste

Né(e) le 7 octobre 1989 à Strasbourg, France , France (34 ans)

Son arbre généalogique

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Source : jyv86

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Né à Strasbourg et vivant à Toulouse, Hugo Clément poursuit après son Baccalauréat économique et social (obtenu avec mention Assez Bien) et une année d'hypokhâgne des études supérieures en sciences politiques à l'université Toulouse-I-Capitole, où il entre en 20087. C'est au cours de ces études qu'il remporte en 2009, alors qu'il est déjà pigiste pour La Dépêche du Midi (ainsi que pour la rédaction régionale de 20 minutes), le prix François Chalais des jeunes reporters (catégorie écrit). L'année suivante, en 2010, il intègre la 86e promotion de l'École supérieure de journalisme de Lille (la même année d'entrée que son futur collègue Martin Weill, et l'année précédant celle de Pierre Le Baud qui deviendra son caméraman), où il réalise notamment durant sa première année un reportage sur des manifestations à Istanbul (une partie des élèves de l'école part tourner des sujets à l'étranger chaque année)16. À l'issue de ses deux années d'études à Lille, pendant lesquelles il est toujours pigiste (par exemple pour Nord Éclair pour lequel il s'intéresse au lancement du V'Lille sur la métropole lilloise ou Slate où il couvre l'affaire du Carlton de Lille, mais aussi pour Midi Libre), il remporte en 2012 la bourse Jean d'Arcy et décroche subséquemment un contrat de travail à France 2.



Devenu journaliste pour France 2, Hugo Clément couvre notamment en direct l'incendie de la Maison de la Radio en 2014 et la traque des auteurs de l'attentat contre Charlie Hebdo en 2015 ; et est l'envoyé spécial de la chaîne à Katmandou lors du séisme népalais de 2015. Il était également présent lors de l'accident ferroviaire de Brétigny-sur-Orge avant même qu'il ne survienne. Lors du 90e anniversaire de l'École supérieure de journalisme de Lille, il est précisé dans la revue spéciale publiée à l'occasion de cet événement qu'il est revenu dans son ancienne école en tant qu'intervenant. Décrit comme étant un journaliste très connecté et adepte des réseaux sociaux : il possède un compte Twitter, un compte et une page Facebook, et un compte Instagram.

...   Né à Strasbourg et vivant à Toulouse, Hugo Clément poursuit après son Baccalauréat économique et social (obtenu avec mention Assez Bien) et une année d'hypokhâgne des études supérieures en sciences politiques à l'université Toulouse-I-Capitole, où il entre en 20087. C'est au cours de ces études qu'il remporte en 2009, alors qu'il est déjà pigiste pour La Dépêche du Midi (ainsi que pour la rédaction régionale de 20 minutes), le prix François Chalais des jeunes reporters (catégorie écrit). L'année suivante, en 2010, il intègre la 86e promotion de l'École supérieure de journalisme de Lille (la même année d'entrée que son futur collègue Martin Weill, et l'année précédant celle de Pierre Le Baud qui deviendra son caméraman), où il réalise notamment durant sa première année un reportage sur des manifestations à Istanbul (une partie des élèves de l'école part tourner des sujets à l'étranger chaque année)16. À l'issue de ses deux années d'études à Lille, pendant lesquelles il est toujours pigiste (par exemple pour Nord Éclair pour lequel il s'intéresse au lancement du V'Lille sur la métropole lilloise ou Slate où il couvre l'affaire du Carlton de Lille, mais aussi pour Midi Libre), il remporte en 2012 la bourse Jean d'Arcy et décroche subséquemment un contrat de travail à France 2.



Devenu journaliste pour France 2, Hugo Clément couvre notamment en direct l'incendie de la Maison de la Radio en 2014 et la traque des auteurs de l'attentat contre Charlie Hebdo en 2015 ; et est l'envoyé spécial de la chaîne à Katmandou lors du séisme népalais de 2015. Il était également présent lors de l'accident ferroviaire de Brétigny-sur-Orge avant même qu'il ne survienne. Lors du 90e anniversaire de l'École supérieure de journalisme de Lille, il est précisé dans la revue spéciale publiée à l'occasion de cet événement qu'il est revenu dans son ancienne école en tant qu'intervenant. Décrit comme étant un journaliste très connecté et adepte des réseaux sociaux : il possède un compte Twitter, un compte et une page Facebook, et un compte Instagram.



Le Petit Journal



Hugo Clément quitte France 2 fin 2015 afin d'intégrer l'équipe du Petit Journal de Yann Barthès (en même temps que Camille Crosnier, ayant elle aussi fait ses études à Toulouse puis à l'École supérieure de journalisme de Lille) afin notamment d'épauler Martin Weill dans ses reportages à l'international31. Il s'y illustre notamment en interviewant brièvement par téléphone le Général Gilbert Diendéré à l'origine du coup d'État de 2015 au Burkina Faso, et étant l'un des premiers journalistes à être présent sur les lieux de la prise d'otage du Bataclan.



La polémique entre Jean-Yves Le Drian et Hugo Clément a éclaté à Botmeur, dans le Finistère.

Une polémique éclate après les élections régionales françaises de 2015 à l'issue desquelles le Ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian cumule sa fonction ministérielle et sa présidence du Conseil régional de Bretagne, alors que ce dernier avait publiquement promis de ne pas cumuler ses fonctions politiques. L'émission se met alors à faire des sujets réguliers sur cette situation, non sans dérision, en envoyant par exemple Hugo Clément à Rennes pour la première séance du Conseil régional post-élections afin de questionner le ministre sur ce sujet sans jamais obtenir de réponse. Peu après cette journée, Jean-Yves Le Drian fait savoir publiquement que « Le Petit Journal a franchi la ligne jaune » ; accusant le journaliste d'avoir filmé son domicile et d'avoir ainsi compromis sa sécurité et celle de sa famille. Il menace également de faire saisir les rushes tournés à cette occasion. Le journaliste répond immédiatement en se défendant des accusations du ministre, précisant qu'il n'a pas filmé le domicile mais les militaires postés devant dans le cadre du plan Vigipirate après leur avoir montré sa carte de presse, précisant au passage que dans le cas où de telles images auraient été tournées, elles n'auraient pas été diffusées. Cette polémique fait réagir certains médias, mettant en parallèle les menaces du ministre et la liberté de la presse ayant échappé de peu à un plus strict encadrement dans le cadre de l'état d'urgence.



Le mois suivant, lors de la visite officielle du président cubain Raul Castro, une altercation verbale se produit à la mairie de Paris entre un journaliste du Petit Journal, Hugo Clément, et un membre d'une association française pro-cubaine. À la question « Il se serait passé quoi à Cuba ? » le journaliste se voit rétorqué « Bah vous seriez mort » par un autre homme présent derrière eux, riant de la plaisanterie. L'échange est cependant interprété comme une « menace de mort » par certains médias. Une semaine après, il reçoit à nouveau des menaces de mort de la part de participants à la manifestation initiée par Pegida à Calais (et maintenue malgré une interdiction préfectorale).



Quotidien



En 2016, Hugo Clément suit Yann Barthès qui quitte Le Petit Journal pour présenter Quotidien sur TMC et TF1. Il s'y illustre notamment en épaulant Martin Weill avec Valentine Oberti lors de la couverture en direct des résultats de l'élection présidentielle américaine ; puis en épinglant Nicolas Domenach lors de la visite du Premier ministre en Afrique de l'Ouest, celui-ci bénéficiant de la prise en charge de ses frais de transport et d'hébergement par l'État, ce qui pourrait être interprété comme une collusion ou tout au moins un manque d'indépendance journalistique de la part de ce dernier. Il est également malmené au cours de certains de ses duplex : il prend des coups de drapeaux de la part d'un auditeur lors d'un discours de François Fillon, et insulté et violemment bousculé par un militant lors du premier discours de campagne de Manuel Valls.





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Origines géographiques

La carte ci-dessous indique les communes d'origine des ancêtres de la personnalité.

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