Généalogie de Maurice CHEVALIER
Chanteurs et musiciens contemporains
Né(e) Maurice CHEVALIER
Chanteur de variété
Né(e) le 12 septembre 1888 à Paris , France
Décédé(e) le 1 janvier 1972 à Paris , France
Origine du nom
Issu du latin populaire caballarius, le nom désigne un chevalier. Il convient cependant de préciser que les chevaliers médiévaux n'avaient qu'un très lointain rapport avec ceux de la Table ronde, qui représentent plus une image idéalisée que la réalité. Qui sont nos cavaliers ou chevaliers ? Au départ des mercenaires auxquels les seigneurs confient la garde de leurs donjons et, sans doute, la collecte des redevances auprès des paysans. Plus tard, à partir du XIIe siècle, la chevalerie deviendra un ordre auquel on accèdera par le célèbre adoubement, qui transforme le cavalier en noble. Mais, dans le royaume d'Aragon, on continue à attribuer au cavalier un rang inférieur au noble dans la hiérarchie sociale. Le nom de famille peut correspondre à cette définition, ou bien être un sobriquet moqueur, ou encore désigner celui qui était au service d'un chevalier
Son arbre généalogique
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Plus d'informations
... "Né à Paris, Maurice Chevalier commence sa carrière à l'âge de douze ans, en chantant dans les cafés de Ménilmontant. À seize ans, il est déjà célèbre comme artiste de cabaret et à vingt et un ans, c'est l'une des principales vedettes des Folies-Bergère. En 1909, il donne un tour différent à sa carrière grâce à Mistinguett (cette carrière s'interrompt pendant la Première Guerre mondiale, mais reprend sitôt après). Il devient le compagnon de Mistinguett sur la scène comme dans la vie, et tous deux forment un couple éphémère - et pourtant mythique - du music-hall français. Maurice Chevalier devient alors la coqueluche des revues et des opérettes du Casino de Paris et des Bouffes-Parisiens, avec en particulier une chanson, «Valentine», et l'opérette Là-haut (1921), dont l'extrait le plus connu est «!Dans la vie faut pas s'en faire!».
De 1928 à 1935, il cède à l'appel des sirènes d'Hollywood et tourne pour le compte de la Paramount, puis de la Metro Goldwin Mayer une douzaine de films, dont Parade d'amour (The Love Parade, 1929) et la Veuve joyeuse (The Merry Widow, 1934), tous deux d'Ernst Lubitsch. Puis, en 1935, il retourne en France où il compose, jusqu'à la fin de l'Occupation, ses plus grands succès : «Prosper» (1935), «Ma Pomme» (1936), «Y'a d'la joie» (1938) et «la Marche de Ménilmontant» (1941), tout en tournant parallèlement plusieurs films.
Il poursuit sa carrière après la Libération, et, en 1947 et 1948, il présente pour la première fois ses spectacles en solo dans une tournée qu'il effectue à travers les États-Unis et le Canada. Il rentre à Paris en 1968, à l'issue d'une tournée mondiale. Gigi (1958), Can-Can (1960), Fanny (1961) et Monkeys, Go Home (Rentrez chez vous, les singes, 1967) comptent au nombre de ses derniers films. Il a publié également quelques ouvrages autobiographiques, Londres-Hollywood-Paris (1946), Noces d'or (1960), Môme à cheveux blancs (1970) et les Pensées de Momo (1972). Emblèmes de la légende de Maurice Chevalier, son optimisme, son charme et son canotier sont passés à la postérité."
Source : Microsoft Encarta 2000.
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Origines géographiques
La carte ci-dessous indique les communes d'origine des ancêtres de la personnalité.