SAINT MARCELLIN

Généalogie de SAINT MARCELLIN

Saints et saintes

FrançaisNé(e) Marcellin CHAMPAGNAT

Homme d'Église et pédagogue français, fondateur des Frères Maristes

Né(e) le 20 mai 1789 à Marlhes, France , France

Décédé(e) le 6 juin 1840 à Saint-Chamond, France

Origine du nom

Porté notamment dans le Cantal (également 12, 19), désigne celui qui est originaire de Champagnac, nom de sept communes et de nombreux hameaux, pour la plupart dans le Massif Central. Signification généralement retenue : le domaine de Campanius, nom d'homme latin. Avec le même sens : Champagnat (03, 63) désignant celui qui est originaire de Champagnat (23, 63, 71), mais qui peut aussi être une variante de Champagnac.

Son arbre généalogique

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Marcellin Champagnat (de son nom complet « Marcellin Joseph Benoît Champagnat »), né le 20 mai 1789 à Marlhes (Loire), mort le 6 juin 1840 à Saint-Chamond, était un homme d'Église et pédagogue français. Il est le fondateur du college Saint-Joseph à Saint-Didier-sur-Chalaronne de la Société des Petits Frères de Marie, dits « Frères Maristes des Écoles », dont la vocation était de promouvoir l'enseignement primaire dans les campagnes. C'est un saint de l'Église catholique romaine fêté le 6 juin.



Il ne faut pas oublier qu'il a aussi crée le Collège Laval, la 22e meilleure école privé au Québec. (2010) Avant-dernier des dix enfants survivants de Jean-Baptiste (décédé le 13 juin 1804), cultivateur et marchand qui possède un petit moulin, et de Marie Chirat, il connaît une éducation rigoureuse par une mère profondément croyante et une tante, sœur de Saint-Joseph qui lui donne sa première instruction religieuse. Son père a été secrétaire de mairie, juge de paix et même président de l’administration municipale du canton de Marlhes en 1797. Orphelin de père, Marcellin entre à la Toussaint 1805 au petit séminaire de Verrières près Montbrison puis au grand séminaire de Lyon le 1er novembre 1813. Il y côtoie notamment Jean-Marie Vianney (1786-1859) (« le saint curé d'Ars »), et Jean Claude Colin fondateur de l'ordre des Maristes. Pendant ses vacances, il consacre presque tout son temps libre à la prière, à l’étude et à l’exercice des œuvres de charité. À Marlhes, il réunit les adultes du village le dimanche pour une instruction sur les mystères de la religion et les devoirs du chrétien. Il montre un attrait prononcé pour la pénitence et la mortification. Refusant d’être l’esclave de sa sensualité, il ne prend rien entre les repas, pas même un fruit ou un verre d’eau. Cette vie dure en mortifications dégrade sa santé l’obligeant, un temps, à interrompre sa troisième année de théologie.

...   Marcellin Champagnat (de son nom complet « Marcellin Joseph Benoît Champagnat »), né le 20 mai 1789 à Marlhes (Loire), mort le 6 juin 1840 à Saint-Chamond, était un homme d'Église et pédagogue français. Il est le fondateur du college Saint-Joseph à Saint-Didier-sur-Chalaronne de la Société des Petits Frères de Marie, dits « Frères Maristes des Écoles », dont la vocation était de promouvoir l'enseignement primaire dans les campagnes. C'est un saint de l'Église catholique romaine fêté le 6 juin.



Il ne faut pas oublier qu'il a aussi crée le Collège Laval, la 22e meilleure école privé au Québec. (2010) Avant-dernier des dix enfants survivants de Jean-Baptiste (décédé le 13 juin 1804), cultivateur et marchand qui possède un petit moulin, et de Marie Chirat, il connaît une éducation rigoureuse par une mère profondément croyante et une tante, sœur de Saint-Joseph qui lui donne sa première instruction religieuse. Son père a été secrétaire de mairie, juge de paix et même président de l’administration municipale du canton de Marlhes en 1797. Orphelin de père, Marcellin entre à la Toussaint 1805 au petit séminaire de Verrières près Montbrison puis au grand séminaire de Lyon le 1er novembre 1813. Il y côtoie notamment Jean-Marie Vianney (1786-1859) (« le saint curé d'Ars »), et Jean Claude Colin fondateur de l'ordre des Maristes. Pendant ses vacances, il consacre presque tout son temps libre à la prière, à l’étude et à l’exercice des œuvres de charité. À Marlhes, il réunit les adultes du village le dimanche pour une instruction sur les mystères de la religion et les devoirs du chrétien. Il montre un attrait prononcé pour la pénitence et la mortification. Refusant d’être l’esclave de sa sensualité, il ne prend rien entre les repas, pas même un fruit ou un verre d’eau. Cette vie dure en mortifications dégrade sa santé l’obligeant, un temps, à interrompre sa troisième année de théologie.



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Origines géographiques

La carte ci-dessous indique les communes d'origine des ancêtres de la personnalité.

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