Généalogie de André CAMPRA
Compositeurs
Né(e) André CAMPRA
Compositeur français
Né(e) le 3 décembre 1660 à Aix-en-Provence, France , France
Décédé(e) le 29 juin 1744 à Versailles, France
Origine du nom
Assez rare et porté dans le Piémont, pourrait correspondre à "camra", contraction piémontaise de l'italien "camera" = chambre (voir Lachambre pour le sens). À noter qu'il y a aussi quelques Campra en Espagne (province d'Almeria), mais ils pourraient bien être d'origine italienne. On précisera que le père du musicien aixois Campra était piémontais."
Son arbre généalogique
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Plus d'informations
Après avoir été formé à la cathédrale Saint-Sauveur à Aix-en-Provence, il accède, en quelques années, au poste prestigieux de maître de musique de Notre-Dame de Paris, après l'avoir été successivement à Toulon, à Arles (cathédrale Saint-Trophime, devenue actuellement simple église Saint-Trophime) et à la cathédrale Saint-Étienne de Toulouse. Il devient ensuite « batteur de mesure » à l'Académie royale de musique (l'Opéra de Paris). Il en deviendra l'inspecteur général. Il dirigera aussi les musiciens et les pages de la Chapelle royale (essentiellement des chanteurs - des chantres - adultes et des garçons en cours de formation) et en sera un des deux compositeurs « ordinaires », jusqu'à ce qu'il se retire en 1735, pour des raisons de santé. Il est l'auteur de nombreuses œuvres profanes notamment dans le domaine de l'opéra-ballet (dont il a été le vrai créateur). Il composera un nombre également important de partitions religieuses. Certains de ses grands motets sont restés célèbres (en particulier son Requiem).
... André Campra, baptisé à Aix-en-Provence le 4 décembre 1660 et mort à Versailles le 29 juin 1744, est un compositeur français. Chronologiquement situé entre Jean-Baptiste Lully et Jean-Philippe Rameau, il a participé au renouveau de l'opéra français.
Après avoir été formé à la cathédrale Saint-Sauveur à Aix-en-Provence, il accède, en quelques années, au poste prestigieux de maître de musique de Notre-Dame de Paris, après l'avoir été successivement à Toulon, à Arles (cathédrale Saint-Trophime, devenue actuellement simple église Saint-Trophime) et à la cathédrale Saint-Étienne de Toulouse. Il devient ensuite « batteur de mesure » à l'Académie royale de musique (l'Opéra de Paris). Il en deviendra l'inspecteur général. Il dirigera aussi les musiciens et les pages de la Chapelle royale (essentiellement des chanteurs - des chantres - adultes et des garçons en cours de formation) et en sera un des deux compositeurs « ordinaires », jusqu'à ce qu'il se retire en 1735, pour des raisons de santé. Il est l'auteur de nombreuses œuvres profanes notamment dans le domaine de l'opéra-ballet (dont il a été le vrai créateur). Il composera un nombre également important de partitions religieuses. Certains de ses grands motets sont restés célèbres (en particulier son Requiem).
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Origines géographiques
La carte ci-dessous indique les communes d'origine des ancêtres de la personnalité.