Jules GUESDE

Généalogie de Jules GUESDE

Députés, sénateurs, membres du conseil Constitutionnel

FrançaisNé(e) Jules BAZILE

Homme politique français, député du Nord

Né(e) le 11 novembre 1845 à Paris , France

Décédé(e) le 28 juillet 1922 à Saint-Mandé , France

Origine du nom

Nom porté en Normandie, aujourd'hui fréquent en Guadeloupe et en Martinique. Voir Basile. Variante : Bazille.

Son arbre généalogique

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Jules Guesde, pseudonyme de Jules Bazile, né le 11 novembre 1845 à Paris et mort le 28 juillet 1922 à Saint-Mandé, est un homme politique français.



Jules Bazile est le fils d’un professeur d’institution privée. Après avoir suivi des études classiques et obtenu son baccalauréat en 1863, il entre à la préfecture de Paris comme expéditionnaire-traducteur à la direction de la presse.

...   Jules Guesde, pseudonyme de Jules Bazile, né le 11 novembre 1845 à Paris et mort le 28 juillet 1922 à Saint-Mandé, est un homme politique français.



Jules Bazile est le fils d’un professeur d’institution privée. Après avoir suivi des études classiques et obtenu son baccalauréat en 1863, il entre à la préfecture de Paris comme expéditionnaire-traducteur à la direction de la presse.

Premiers pas dans le journalisme militant



Il collabore très tôt à des journaux républicains, se signalant par son audace contre le régime impérial, choisissant alors comme pseudonyme — Jules Guesde — le patronyme de sa mère, Eléonor Guesde.



Ces années sont celles d’une formation politique de plus en plus marquée à gauche. À un journaliste du Matin venu l'interviewer sur son itinéraire politique en 1893, il répond qu'il est devenu républicain sous l'Empire en lisant en cachette les Châtiments de Victor Hugo, athée en lisant la Critique de la raison pure de Kant et enfin socialiste « par la Commune ».



De fait, c'est de Toulouse puis Montpellier, et non à Paris, que le jeune Guesde critique l’entrée en guerre de la France en 1870. Il défend l’opinion républicaine dans Le Progrès libéral de Toulouse en 1868, puis, l’année suivante, jusqu’en 1871, dans La Liberté de Montpellier puis dans Les Droits de l’Homme où il est alors secrétaire de rédaction. Après le 4 septembre, il soutient la nouvelle République et surtout, à partir de mars 1871, l'insurrection de la Commune. Ses articles virulents lui valent diverses condamnations à l’emprisonnement qui le poussent, pour y échapper, à l'exil au mois de juin.



Réfugié en Suisse puis en Italie, à Milan, où il survit en donnant des leçons de littérature, il entre alors en contact avec des militants de l'Association internationale des travailleurs (Première Internationale), mouvement fondé entre autres par Karl Marx en 1864. D’abord hostile au philosophe, Guesde se rapproche peu à peu de ce dernier. Sans pour autant adopter toutes les idées de Marx, il en défend vigoureusement le concept de prise de pouvoir par le prolétariat.



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Origines géographiques

La carte ci-dessous indique les communes d'origine des ancêtres de la personnalité.

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