Généalogie de Jacques BAINVILLE
Journalistes
Né(e) Jacques BAINVILLE
Journaliste, chroniqueur de politique étrangère, historien et académicien français
Né(e) le 9 février 1879 à Vincennes, Val-de-Marne , France
Décédé(e) le 9 février 1936 à Paris , France
Son arbre généalogique
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Issu d'une famille attachée aux valeurs républicaines, Jacques Bainville étudia au lycée Henri-IV puis une année à la Faculté de droit de Paris. Il est le neveu de l’écrivain Camille Bainville. Il commença son œuvre en 1900, à l'âge de 20 ans, avec Louis II de Bavière. C'est à l’issue de son séjour en Bavière que Bainville devint monarchiste en 1900. C’est par réflexion, par comparaison, que ce fils de famille républicaine, libre penseur et voltairien, peu sensible à tout sentiment nostalgique, s’est tourné vers le royalisme. Face au rayonnement d’une Allemagne unifiée par Bismarck, en plein épanouissement économique, démographique, au pouvoir stable et fort, il jugea que la République – « la fille de Bismarck », écrira-t-il dans son Bismarck et la France – était un régime malthusien, essoufflé, livré à des gens médiocres et aux querelles intestines, incapable de faire face à cette Allemagne qui le fascinait autant qu’elle l’inquiétait.
... Jacques Pierre Bainville, né le 9 février 1879 à Vincennes et mort le 9 février 1936 à Paris, est un journaliste, chroniqueur de politique étrangère, historien et académicien français.
Issu d'une famille attachée aux valeurs républicaines, Jacques Bainville étudia au lycée Henri-IV puis une année à la Faculté de droit de Paris. Il est le neveu de l’écrivain Camille Bainville. Il commença son œuvre en 1900, à l'âge de 20 ans, avec Louis II de Bavière. C'est à l’issue de son séjour en Bavière que Bainville devint monarchiste en 1900. C’est par réflexion, par comparaison, que ce fils de famille républicaine, libre penseur et voltairien, peu sensible à tout sentiment nostalgique, s’est tourné vers le royalisme. Face au rayonnement d’une Allemagne unifiée par Bismarck, en plein épanouissement économique, démographique, au pouvoir stable et fort, il jugea que la République – « la fille de Bismarck », écrira-t-il dans son Bismarck et la France – était un régime malthusien, essoufflé, livré à des gens médiocres et aux querelles intestines, incapable de faire face à cette Allemagne qui le fascinait autant qu’elle l’inquiétait.
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Origines géographiques
La carte ci-dessous indique les communes d'origine des ancêtres de la personnalité.