Louise ARBOUR

Généalogie de Louise ARBOUR

Personnalités politiques canadiennes

CanadienNé(e) Louise ARBOUR

Haute-Commissaire des Nations unies aux droits de l'homme

Né(e) le 10 février 1947 à Montreal, Quebec , Canada (77 ans)

Son arbre généalogique

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Provenant d'une famille bourgeoise, ses parents étant propriétaires d'une chaîne d'hôtel, Mme Arbour a reçu son éducation primaire et secondaire à la Congrégation Notre-Dame du Collège Régina Assumpta, une école privée tenue par des religieuses. Elle elle reçoit son baccalauréat ès arts de l'Université de Montréal en 1967, suivi d'une licence en droit (LL.L.) avec la mention Distinction en 1970. Cette durant cette même année que Mme Arbour entre comme avocate au Bareau du Québec. Les deux années subséquentes, elle est commis aux affaires légales pour le juge Louis-Philippe Pigeon à la Cour suprême du Canada, tout en complétant des études en Common Law canadien à l'Université d'Ottawa. Le barreau ontarien l'accueille en 1977.



De 1974 à 1987, Mme Arbour est un officier de recherche pour la Commission sur la réforme du droit au Canada, tout comme elle est professeur adjoint et doyen adjoint de la Osgoode Hall Law School à Toronto ou elle avait été professeure adjointe, puis associée de 1972 à 1973. Elle est nommée juge à la Cour suprême de l'Ontario en 1987 ou elle est la première femme et la première francophone à occuper ce poste. En 1990, elle est nommée juge à la cour d'appel de l'Ontario.

...   Provenant d'une famille bourgeoise, ses parents étant propriétaires d'une chaîne d'hôtel, Mme Arbour a reçu son éducation primaire et secondaire à la Congrégation Notre-Dame du Collège Régina Assumpta, une école privée tenue par des religieuses. Elle elle reçoit son baccalauréat ès arts de l'Université de Montréal en 1967, suivi d'une licence en droit (LL.L.) avec la mention Distinction en 1970. Cette durant cette même année que Mme Arbour entre comme avocate au Bareau du Québec. Les deux années subséquentes, elle est commis aux affaires légales pour le juge Louis-Philippe Pigeon à la Cour suprême du Canada, tout en complétant des études en Common Law canadien à l'Université d'Ottawa. Le barreau ontarien l'accueille en 1977.



De 1974 à 1987, Mme Arbour est un officier de recherche pour la Commission sur la réforme du droit au Canada, tout comme elle est professeur adjoint et doyen adjoint de la Osgoode Hall Law School à Toronto ou elle avait été professeure adjointe, puis associée de 1972 à 1973. Elle est nommée juge à la Cour suprême de l'Ontario en 1987 ou elle est la première femme et la première francophone à occuper ce poste. En 1990, elle est nommée juge à la cour d'appel de l'Ontario.



En 1995, elle est nommée présidente d'une commission d'enquête ontarienne sur les évènements survenus à la prison des femmes située à Kingston, Ontario.



En 1996, elle est nommée procureur en chef du Tribunal pénal international pour le Rwanda et au Tribunal pénal international pour l'ex-Yougoslavie. Son travail consister à superviser deux tribunaux crées par les Nations Unies soit : Le Tribunal pénal international pour l'ex-Yougoslavie et le Tribunal pénal international pour le Rwanda. Pendant cette période, elle publie sur les procédures criminelles, les droits de l'homme et les libertés civiles, tant en anglais qu'en français. Mme Arbour n'à jamais eu la lague dans sa poche, et ce, dès la petite école lorsqu'elle était directrice du journal étudiant ou elle s'est fait traiter d'irrévérencieuse. Elle a aussi dit de la France qu'elle « se traîn[nait] les pieds » en Bosnie, elle a accuser le président de la Serbie, Slobodan Milo?ević, de crimes de guerre en mai 1999.



Le 15 septembre 1999, elle est nommée juge à la Cour suprême du Canada par le Très honorable Jean Chrétien, où elle succède au juge Peter Cory. L'année de sa nomination, elle reçoit 17 doctorats honoris causa, et en recevra 10 autres dans les années subséquentes. Elle est la seule juge de la cours suprème du canada à avoir quitter son poste. Sa biographie officielle mentionne qu'elle « a pris sa retraite le 30 juin 2004.»



Le 20 février 2004, elle est nommée Haut-commissaire de l'ONU aux droits de l'homme, poste qu'elle occupe à partir du 1er juillet 2004. Elle remplace Sergio Vieira de Mello, tué dans un attentat à Bagdad en Irak. En juillet 2006, dénonçant les attaques d'Israël contre le Liban, elle fait l'objet d'une campagne visant sa démission des fonctions qu'elle occupe.



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Origines géographiques

La carte ci-dessous indique les communes d'origine des ancêtres de la personnalité.

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