Généalogie de Charles PEGUY
Poètes, Personnalités 1914-1918
Né(e) Charles PEGUY
Poète, polémiste et essayiste français
Né(e) le 7 janvier 1873 à Orléans, France , France
Décédé(e) le 5 septembre 1914 à Villeroy, France
Origine du nom
Le nom est surtout porté dans le Loiret et dans la Seine-et-Marne. Son sens est incertain. Dauzat en faisait un nom de baptême composé : Pierre (dont Pé est une forme fréquente, mais dans le Sud-Ouest) + Guy. Curieusement, il ne figure plus dans le dictionnaire de M.T. Morlet. Aucune des autres possibilités ne paraît satisfaisante, notamment un rapport avec la poix évoqué parfois pour le nom voisin Péguin.
Son arbre généalogique
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Plus d'informations
Excellent élève, il put poursuivre ses études comme boursier au lycée Lakanal de Sceaux puis à Louis-le-Grand et Sainte-Barbe, jusqu'à l'École normale supérieure où il entre en 1894. Il y connaît Charles Andler comme professeur d'allemand, Lucien Herr le conservateur de la bibliothèque, et ... Descendant par son père de toute une lignée de vignerons ou bûcherons des environs d'Orléans et par sa mère de paysans bourbonnais, Péguy revendiqua toujours avec fierté son ascendance modeste. Orphelin de père à moins d'un an, il fut élevé à Orléans par sa mère et sa grand-mère, toutes deux rempailleuses de chaises.
Excellent élève, il put poursuivre ses études comme boursier au lycée Lakanal de Sceaux puis à Louis-le-Grand et Sainte-Barbe, jusqu'à l'École normale supérieure où il entre en 1894. Il y connaît Charles Andler comme professeur d'allemand, Lucien Herr le conservateur de la bibliothèque, et Henri Bergson, professeur de philosophie. Licencié ès lettres mais échouant à l'agrégation de philosophie, il se tourne vers le journalisme et compose son drame Jeanne d'Arc en 1897. Sa dédicace affirme que l'« établissement de la République socialiste universelle » peut seul porter « remède au mal universel humain ». La même année, il se marie civilement avec la soeur de son meilleur ami récemment décédé, Charlotte Baudouin, dont il aura quatre enfants : Marcel en 1898, Germaine en 1901, Pierre en 1903 et Charles-Pierre en 1915, son fils posthume.
Il quitte l'École et travaille comme libraire (en 1898, il fonde en collaboration, et grâce à la dot de sa femme, la librairie socialiste Georges Bellais) avant de se lancer, après s'être brouillé avec ses associés, dans l'édition indépendante : il fonde les Cahiers de la quinzaine en 1900, installés au 8 rue de la Sorbonne et dont il paraîtra pendant la Belle époque 229 numéros jusqu'à sa mort. La majorité des oeuvres de Péguy paraîtront dans ce « journal vrai » atypique, qui constitue son grand oeuvre mais où Romain Rolland, les Tharaud, Julien Benda, Anatole France, Georges Sorel, Tolstoï ou André Suarès furent également édités, entre tant d'autres.
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Origines géographiques
La carte ci-dessous indique les communes d'origine des ancêtres de la personnalité.
