Théodore BOTREL

Généalogie de Théodore BOTREL

Chanteurs et musiciens contemporains, Personnalités 1914-1918

FrançaisNé(e) Théodore BOTREL

Chansonnier breton

Né(e) le 14 septembre 1868 à Dinan, France , France

Décédé(e) le 26 juillet 1925 à Pont-Aven, France

Origine du nom

Nom breton porté notamment dans les Côtes-d'Armor. Variantes : Bothrel (22), Botherel (56, 22), Bothorel, Botorel (29). Il renvoie à l'ancien français boterel (= petit crapaud), souvent utilisé pour désigner unpersonnage laid ou méprisable.

Son arbre généalogique

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Plus d'informations

Théodore Botrel est un auteur-compositeur-interprète français.



Il est élevé en Bretagne par sa grand-mère jusqu'à l'âge de 7 ans, puis rejoint ses parents à Paris.

...   Théodore Botrel est un auteur-compositeur-interprète français.



Il est élevé en Bretagne par sa grand-mère jusqu'à l'âge de 7 ans, puis rejoint ses parents à Paris.



Originaire du pays gallo (la partie est de la Bretagne qui n'a jamais parlé breton), il n'a appris le breton que sur le tard, et la quasi-totalité de son œuvre est en français.



Vers 16-17 ans, il fait partie d'une troupe amateur où il fait jouer sa première pièce Le Poignard. Il commence à écrire quelques chansons et sort sa première chanson imprimée Le petit biniou à 18 ans. Elle n'eut aucun succès, un autre Biniou étant déjà sorti quelques années auparavant.



Il s'engage alors pour 5 ans dans l'armée et à son retour travaille au PLM (Compagnie des chemins de fer Paris-Lyon-Marseille). Il joue en parallèle dans une petite troupe de théâtre, auprès, entre autres, de celui qui allait devenir Dranem et continue d'écrire quelques chansons, qui n'obtiennent que peu de succès.



Mais un soir, dans un café chantant, il remplace un chanteur absent et chante quelques-unes de ses œuvres dont La Paimpolaise. Ce sera la gloire. Cette chanson reste au répertoire de Mayol jusqu'à sa mort en 1941. On remarquera que dans cette chanson, il chante J'aime Paimpol et sa falaise, alors qu'à Paimpol même il n'y a jamais eu de falaise.[1]



On retiendra ses chansons patriotiques pendant la Grande Guerre dont l'inoubliable Ma P'tite Mimi reprise par Pierre Desproges.



Théodore Botrel eut deux filles, dont l'ainée, Léna, fut l'épouse de Émile Danoën.



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Origines géographiques

La carte ci-dessous indique les communes d'origine des ancêtres de la personnalité.

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