Georges COURTELINE

Généalogie de Georges COURTELINE

Ecrivains

FrançaisNé(e) Courteline Moinaux ou Moineau

Romancier et dramaturge français

Né(e) le 25 juin 1858 à Tours, France , France

Décédé(e) le 25 juin 1929 à Paris, France

Origine du nom

Nom surtout porté dans la Nièvre (variante Desmoinaux dans le Loiret). Désigne celui qui habite les Moineaux, sans doute au départ la ferme ou le domaine appartenant à une famille Moineau (voir Moinel), patronyme très porté dans le Centre.

Son arbre généalogique

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Georges Courteline, nom de plume de Georges Victor Marcel Moinaux ou Moineau, est un romancier et dramaturge français, né le 25 juin 1858 à Tours, mort le 25 juin 1929 à Paris.



Georges Courteline est le fils de l'écrivain et auteur de théâtre Joseph Moineaux, connu sous le nom de plume de Jules Moinaux.

...   Georges Courteline, nom de plume de Georges Victor Marcel Moinaux ou Moineau, est un romancier et dramaturge français, né le 25 juin 1858 à Tours, mort le 25 juin 1929 à Paris.



Georges Courteline est le fils de l'écrivain et auteur de théâtre Joseph Moineaux, connu sous le nom de plume de Jules Moinaux.



Georges Courteline, né à Tours en 1858, fut, cependant, un authentique enfant de la Butte Montmartre. Fidèle à Montmartre, il alla jusqu'à renier sa déclaration de naissance qui le faisait naître à Tours. Il n'avait que 5 ans, lorsque ses parents, qui l'avaient abandonné à ses grands-parents, à Tours, le firent revenir à Paris. Tous les étés, la famille s'installait dans une villa à Montmartre rue de la Fontenelle puis rue du Chevalier-de-la-Barre. C'est là que se rendaient en visite toutes les célébrités du théâtre du Second Empire et Courteline en garda toute sa vie un souvenir impérissable.



Après ses études au collège de Meaux, il fait son service militaire à Bar-le-Duc en 1881 au 13e régiment de chasseurs à cheval qui lui inspirera quelques-unes de ses célèbres satires. Entré ensuite dans l'Administration des cultes, il prend pour cible les fonctionnaires. Marié, il s'installe au 89 de la rue Lepic. Petit homme sec, ronchonnant et rouspétant, il descend, tous les jours et à la même heure, la rue Lepic pour se rendre Avenue Trudaine à l'Auberge du Clou qu'il fréquente régulièrement de 1888 à 1893. Là il commande un « précipité », mélange de Pernod et d'anisette. Il corrige des articles destinés à L'Écho de Paris ou joue aux cartes tempêtant, enguirlandant ses partenaires. Mais il se livre aussi à de sacrés canulars…



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Origines géographiques

La carte ci-dessous indique les communes d'origine des ancêtres de la personnalité.

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