Généalogie de Félix GRAS
Ecrivains, Poètes
Né(e) Félix GRAS
Juriste et poète de langue provençale
Né(e) le 3 mai 1844 à Malemort-du-Comtat, France , France
Décédé(e) le 4 mars 1901 à Avignon, France
Origine du nom
En règle générale, on pense à un sobriquet désignant un homme assez enveloppé. C'est dans les Bouches-du-Rhône que le nom est le plus fréquent, où le sens est peut-être différent, puisque le mot "gras" y désigne l'embouchure d'un fleuve, un chenal faisant communiquer un étang avec la mer. A signaler encore d'autres possibilités : d'abord un nom de localité issu du latin Crassus (nom de personne), par exemple Gras dans l'Ardèche. Ensuite un nom de personne (toujours latin Crassus). Enfin, mais uniquement en Alsace-Lorraine, une variante de Grass, surnom métonymique de celui qui fauche l'herbe."
Son arbre généalogique
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Plus d'informations
Fils de Marie-Rose Bouscarle et de Jean-Pierre Gras, agriculteur aisé, il commença ses études au petit séminaire de Sainte-Garde, à Saint-Didier et les acheva à Béziers au Pensionnat tenu par les Frères des écoles chrétiennes jusqu'en 1860. Il découvrit la poésie à travers Homère et Mirèio (Mireille) paru en 1859. De retour dans le Vaucluse, il assista aux triomphes des félibres de la première génération et décida de suivre leurs traces. Cette voie lui fut facilitée par le mariage de sa sœur, en 1863, la félibresse Rose-Anaïs (1841-1920) avec Joseph Roumanille qui s'étaient connus aux « Jeux Floraux » d'Apt. Son talent et son enthousiasme conquirent immédiatement Frédéric Mistral.
... Félix Gras né à Malemort-du-Comtat le 3 mai 1844 et décédé à Avignon le 4 mars 1901, juriste et poète de langue provençale, fut Capoulié du Félibrige à la suite de son beau-frère Joseph Roumanille.
Fils de Marie-Rose Bouscarle et de Jean-Pierre Gras, agriculteur aisé, il commença ses études au petit séminaire de Sainte-Garde, à Saint-Didier et les acheva à Béziers au Pensionnat tenu par les Frères des écoles chrétiennes jusqu'en 1860. Il découvrit la poésie à travers Homère et Mirèio (Mireille) paru en 1859. De retour dans le Vaucluse, il assista aux triomphes des félibres de la première génération et décida de suivre leurs traces. Cette voie lui fut facilitée par le mariage de sa sœur, en 1863, la félibresse Rose-Anaïs (1841-1920) avec Joseph Roumanille qui s'étaient connus aux « Jeux Floraux » d'Apt. Son talent et son enthousiasme conquirent immédiatement Frédéric Mistral.
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Origines géographiques
La carte ci-dessous indique les communes d'origine des ancêtres de la personnalité.