Ferdinand FABRE

Généalogie de Ferdinand FABRE

Ecrivains

FrançaisNé(e) Ferdinand Simon FABRE

Romancier français

Né(e) le 9 juin 1827 à Bédarieux, France , France

Décédé(e) le 11 février 1898 à Paris, France

Origine du nom

L'un des patronymes les plus courants en Europe, sous ses diverses formes (Faivre, Lefèvre, Faure ...). Le métier évoqué par ce nom, celui de forgeron, entraîne en effet une diffusion massive du surnom : il y avait très peu de forgerons dans un village, mais il y en avait toujours au moins un (origine : lat. faber). C'est dans le Rouergue que le nom est le plus répandu, mais on le trouve dans tout le Languedoc et en Catalogne. Variante : Fabra (66).

Son arbre généalogique

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Plus d'informations

Ferdinand Fabre, né à Bédarieux le 9 juin 1827 et mort à Paris le 11 février 1898, est un romancier français, qui mêlait beaucoup de vocabulaire occitan avec la langue française dans ses ouvrages.



Ferdinand Fabre est né dans la haute vallée de l’Orb, dans le département de l'Hérault, source d'inspiration de ses romans. Poussé par sa mère, il entre au petit séminaire de Saint-Pons-de-Thomières et, en 1847, au grand séminaire de Montpellier. Son oncle, curé de Camplong, est évoqué dans ses livres. La description de son expérience des milieux ecclésiastiques fournit plus généralement un autre thème de ses romans.

...   Ferdinand Fabre, né à Bédarieux le 9 juin 1827 et mort à Paris le 11 février 1898, est un romancier français, qui mêlait beaucoup de vocabulaire occitan avec la langue française dans ses ouvrages.



Ferdinand Fabre est né dans la haute vallée de l’Orb, dans le département de l'Hérault, source d'inspiration de ses romans. Poussé par sa mère, il entre au petit séminaire de Saint-Pons-de-Thomières et, en 1847, au grand séminaire de Montpellier. Son oncle, curé de Camplong, est évoqué dans ses livres. La description de son expérience des milieux ecclésiastiques fournit plus généralement un autre thème de ses romans.



En 1849, il renonce à la prêtrise pour aller étudier à Paris. En 1853, il obtient un poste d'inspecteur des bibliothèques à Calais. Il quitte finalement l'administration et se consacre entièrement aux lettres. Il vient vivre à Paris où il fréquente les milieux artistiques, en particulier Hector Malot et le peintre Jean-Paul Laurens, dont il publie une biographie.



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Origines géographiques

La carte ci-dessous indique les communes d'origine des ancêtres de la personnalité.

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