Alfred DESROCHERS

Généalogie de Alfred DESROCHERS

Poètes

CanadienNé(e) Alfred DESROCHERS

Poète québécois

Né(e) le 5 octobre 1901 à Saint-Élie-d'Orford, Quebec, Canada , Canada

Décédé(e) le 12 octobre 1978

Origine du nom

Relativement rare aujourd'hui, le nom est surtout porté en Normandie mais paraît être originaire de la Sarthe ou de la Mayenne. Quelques mentions anciennes aussi en Limousin et dans le Centre. Le nom est également présent au Québec. Il désigne soit celui qui habite un lieu-dit "les Rochers" ou en est originaire, soit celui qui appartient à la famille ou au domaine des Rocher (nom de famille)."

Son arbre généalogique

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Plus d'informations

Alfred Desrochers est un poète québécois né le 5 août 1901 à Saint-Élie-d'Orford et décédé le 12 octobre 1978 à Montréal. Il a eu plusieurs enfants, dont une fille qui est l'humoriste et comédienne Clémence Desrochers. Il a exercé plusieurs métiers et a entre autres travaillé à la fonderie Jenkse de Sherbrooke. Il s'est surtout signalé au journal La Tribune, un quotidien de Sherbrooke pour lequel il travaille entre 1925 et 1942 et de 1946 à 1952. Il a grandement influencé une autre populaire auteure québécoise de l'époque, Germaine Guèvremont.



Soldat dans l'armée canadienne de 1942 à 1945, il devient ensuite traducteur au parlement canadien de 1945 à 1946. Paraît en 1929 son premier recueil, L'Offrande aux vierges folles et l'année suivante, son deuxième recueil, À l'ombre de l'Orford. Il reçoit pour ce recueil les prix de l'Action canadienne-française de la jeunesse catholique et d'Action intellectuelle. Il reçoit en 1946 le prix Duvernay pour l'ensemble de son œuvre. Il meurt à Montréal le 12 octobre 1978.

...   Alfred Desrochers est un poète québécois né le 5 août 1901 à Saint-Élie-d'Orford et décédé le 12 octobre 1978 à Montréal. Il a eu plusieurs enfants, dont une fille qui est l'humoriste et comédienne Clémence Desrochers. Il a exercé plusieurs métiers et a entre autres travaillé à la fonderie Jenkse de Sherbrooke. Il s'est surtout signalé au journal La Tribune, un quotidien de Sherbrooke pour lequel il travaille entre 1925 et 1942 et de 1946 à 1952. Il a grandement influencé une autre populaire auteure québécoise de l'époque, Germaine Guèvremont.



Soldat dans l'armée canadienne de 1942 à 1945, il devient ensuite traducteur au parlement canadien de 1945 à 1946. Paraît en 1929 son premier recueil, L'Offrande aux vierges folles et l'année suivante, son deuxième recueil, À l'ombre de l'Orford. Il reçoit pour ce recueil les prix de l'Action canadienne-française de la jeunesse catholique et d'Action intellectuelle. Il reçoit en 1946 le prix Duvernay pour l'ensemble de son œuvre. Il meurt à Montréal le 12 octobre 1978.



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Origines géographiques

La carte ci-dessous indique les communes d'origine des ancêtres de la personnalité.

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