Patrick POIVRE d'ARVOR

Généalogie de Patrick POIVRE d'ARVOR

Personnalités du monde audiovisuel françaises

FrançaisNé(e) Patrick POIVRE

Journaliste et écrivain

Né(e) le 20 septembre 1947 à Reims , France (76 ans)

Origine du nom

Le nom Poivre (variante : Lepoivre) est surtout porté dans le Nord-Pas-de-Calais, en Champagne-Ardenne et en Lorraine. C'est le probable surnom d'un marchand d'épices. Le complément "d'Arvor" a été rajouté au nom par Patrick Poivre d'Arvor et son frère. Ils sont légalement autorisés à le porter et à le transmettre depuis 2005.

Son arbre généalogique

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Plus d'informations

Patrick Poivre d'Arvor est le fils d'une mère d'origine auvergnate et d'un père d'origine bretonne représentant en chaussures[réf. souhaitée]. Il a une sœur Catherine responsable d'une mission humanitaire disparue en 1968 au large de l'île Maurice) et un frère Olivier (né en 1958, écrivain et philosophe).



Depuis l’âge de deux ans et durant toute son enfance[précision nécessaire], il passe toutes ses vacances à Trégastel en Bretagne nord, lieu auquel il est très attaché.

...   Patrick Poivre d'Arvor est le fils d'une mère d'origine auvergnate et d'un père d'origine bretonne représentant en chaussures[réf. souhaitée]. Il a une sœur Catherine responsable d'une mission humanitaire disparue en 1968 au large de l'île Maurice) et un frère Olivier (né en 1958, écrivain et philosophe).



Depuis l’âge de deux ans et durant toute son enfance[précision nécessaire], il passe toutes ses vacances à Trégastel en Bretagne nord, lieu auquel il est très attaché.



Lors de la parution de son roman Les Enfants de l'aube en 1982, il a ajouté à son nom - « Poivre » - un pseudonyme - « d'Arvor » - emprunté à son grand-père maternel, Jean-Baptiste Jeuge, relieur et poète connu sous le nom d'auteur de Jean d'Arvor, qui l'avait initié à l'écriture.



1962 : Patrick Poivre est bachelier à 15 ans.



Il commence ses études à l'Institut d'études politiques de Strasbourg, où il effectue sa première année, profitant ensuite des procédures en place à l'époque pour aller à l'IEP de Paris. Il est alors militant des Républicains indépendants (favorables à Valéry Giscard d'Estaing), et responsable régional de son mouvement de jeunesse, les Jeunes républicains indépendants (JRI) dont il avait intégré le bureau national avant d'en devenir le vice-président[6] (il figure d'ailleurs à la « une » du mensuel France Moderne n°350 de mars 1970, le journal de la Fédération nationale des républicains indépendants).



Il obtient ensuite un diplôme de l'Institut d'études politiques de Paris et il étudie le russe et le serbo-croate à l'Institut national des langues et civilisations orientales.



1970 : âgé de 22 ans, il intègre finalement le Centre de formation des journalistes (CFJ) pour devenir journaliste. Il en sera diplômé l'année suivante.



1971 : Lauréat du concours « Envoyé spécial » de France Inter, il débute sa carrière de journaliste sous la direction de Roger Gicquel, où il est chargé des journaux du matin et de la revue de presse. Il devient ensuite grand reporter et militant giscardien.



En 1974, il entre à Antenne 2 où il devient chef du service « politique intérieure »[4], puis chef du service « politique, économique et social »[4]. Il anime très vite sa première émission télévisée la même année.[réf. souhaitée]



En 1976, Jean-Pierre Elkabbach le choisit pour être rédacteur en chef adjoint du journal télévisé de 20 heures qu'il présente du 16 février 1976 au 28 juillet 1983.



De 1979 à 1981, il est éditorialiste de la rubrique « Humeur du jour » sur France Inter à 7 h 45. En 1981 il doit partager la présentation du journal de 20 heures avec Christine Ockrent (en alternance une semaine sur deux).



En 1982, pour la première fois de son histoire, le journal de 20 heures d'Antenne 2 devance celui de TF1 en nombre de téléspectateurs. En 1983, PPDA anime avec Jacqueline Alexandre une émission hebdomadaire d'information aux consommateurs, À nous 2 sur Antenne 2.



En 1984, il quitte Antenne 2 pour rejoindre la nouvelle chaîne Canal+ pour animer l'émission journalière[précision nécessaire] Tous en scène jusqu'en 1985. En 1986, il fait un rapide passage sur la station de radio RMC où il est éditorialiste dans la matinale jusqu'en 1987.



En 1986, PPDA rejoint TF1 présidé par Hervé Bourges pour présenter l'émission dominicale À la folie pas du tout[4] jusqu'en 1987.



En 1987, TF1 est privatisé et désormais sous le contrôle, le 6 avril de Francis Bouygues. Les président et vice-président Patrick Le Lay et Étienne Mougeotte le choisissent à partir du 31 août pour succéder à Roger Gicquel, Jean-Claude Bourret, Bruno Masure, Claude Sérillon, et Marie-France Cubadda aux rênes du journal télévisé de 20h du lundi au jeudi, qu'il présente en alternance avec Claire Chazal le week-end. Le journal de la chaîne redevient le plus regardé de France devant celui d'Antenne 2[4]. Il présente également l'émission À la folie le dimanche jusqu'en 1988.



En 1988, Patrick Poivre d'Arvor obtient de TF1 de présenter une émission littéraire en dernière partie de soirée. Ex-libris deviendra le 16 octobre 1999 Vol de nuit[4]. À partir de la création de la chaîne d'information en continu LCI par le groupe TF1 en 1994[11], il anime également l'émission littéraire Place au livre.



En 1989, il devient également directeur délégué à l'information de TF1 sous la direction de Patrick Le Lay (PDG de la chaîne depuis le 23 février 1988).



En 2000, il est nommé vice-président de la nouvelle chaîne régionale bretonne privée TV Breizh lancée en septembre par Patrick Le Lay.



Le 2 mai 2007, il coprésente avec Arlette Chabot le débat télévisé du second tour de l'élection présidentielle française de 2007 entre Nicolas Sarkozy et Ségolène Royal. Patrick Poivre d'Arvor a présenté son dernier journal le 10 juillet 2008.



Depuis le 25 août 2008, il est remplacé par Laurence Ferrari à la présentation du journal télévisé de 20 heures en semaine de TF1. Patrick Poivre d'Arvor, qui avait l'intention de continuer à présenter le journal télévisé jusqu'en 2012[16], a souligné que « cette éviction n'était pas journalistique ». « Il aimerait bien, le fier albatros, devoir son éviction à des coups de bec un peu trop prononcés sur le nez du président de la République. » ironise Libération à propos des rumeurs d'intervention de Nicolas Sarkozy.



En mai 2009, après une plainte en son nom propre de Nonce Paolini pour « diffamation », Patrick Poivre d'Arvor est condamné par le tribunal correctionnel de Paris à 500 euros d'amende avec sursis ainsi qu'à 1 euro de dommages et intérêts[19]. Au cours d'une interview au magazine mensuel Bretons en juillet 2008, l'ancien présentateur du 20 heures avait accusé le président-directeur général du groupe TF1 d'avoir « installé un système de pointage avec des badges » et monté une « police privée chargée de scruter les moindres déplacements ».



Parallèlement, le groupe TF1 a porté plainte contre Patrick Poivre d'Arvor auprès du tribunal de grande instance (France) de Nanterre en réclamant 400 000 euros pour « dénigrement ». En échange d'indemnités de 3,5 millions d'euros au départ de la chaîne, le journaliste est tenu à une « obligation de non-critique » de son ancien employeur.



En septembre 2008, Patrick Poivre d'Arvor devient l'un des polémistes intervenant régulièrement dans On refait le monde sur RTL. En octobre 2008, il devient parrain de l'émission Qui l'a lu, sur Gulli.



Il devrait parallèlement réaliser de « grandes interviews tout au long de l'année avec des personnalités de divers horizons » pour l'hebdomadaire Paris Match.



À partir de janvier 2009, Patrick Poivre d'Arvor présente sur France 5 La Traversée du miroir, une émission hebdomadaire d'interview de deux personnalités d'une durée de 52 minutes.



À partir de février 2009, il anime sur la chaîne franco-allemande Arte six numéros de L'avis des autres, un magazine mensuel de géopolitique de deux heures diffusé en première partie de soirée, durant laquelle un panel de vingt-sept téléspectateurs (neuf Français, neuf Allemands, neuf représentants d'autres pays européens) interroge différents invités. Le magazine réalise toutefois des audiences jugées très faibles[30] : 1,1 % de part de marché soit 272 000 téléspectateurs par exemple pour le deuxième numéro en mars 2009.



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Origines géographiques

La carte ci-dessous indique les communes d'origine des ancêtres de la personnalité.

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